Les feux de l'amour, le jeu vidéo
Contrairement au premier LoS, on retrouve ici un esprit plus Castlevaniesque. Et les décors y sont pour beaucoup. Côté ambiance on est à mi-chemin entre la série originale et God of War. La référence a beau être de qualité, le choix n'en est pas plus judicieux.
Côté scénar', Mercury Steam poursuit dans la ré-écriture, à l'image des Star Trek de J.J. Abrams. L'espèce de twist, logique et pertinent, sur lequel s'appuie le jeu transpire tout tout du long, au point d'en être une fausse surprise, écrite avec le bon goût d'un soap opéra.
Bref, ce Mirror of Fate, c'est un gameplay riche, plaisant et solide est ce qui se rapproche le plus d'un Castlevania old school depuis bien longtemps. Mais son bestiaire famélique, sa bande son spartiate et son écriture ras des pâquerettes entament sérieusement son capital sympathie