Ça pète. Partout. Vraiment partout. Les Aliens détruisent la Terre dès l'introduction du jeu façon Independance Day. Le cap franchi par la 16 bit fait que Contra III s'est dit "Rien à foutre d'être jouable, je veux que tout explose en permanence."
Le problème, c'est que ça se fait parfois au détriment de la jouabilité, ce qui rend certains niveaux affreusement dur. Pour autant, j'ai aimé ce côté bourrin sans prise de tête, même si il faudra quand même m'expliquer à l'occasion le pourquoi du comment de ces niveaux en vue du dessus censé remplacer les entrées dans les bases du premier opus.
Agréable, fun, mais ça pète vraiment beaucoup trop de partout.