Dark Chronicle par Decast

Au niveau des graphiques, Dark Chronicle, reste beau. Les donjons sont tous identiques mais, en même temps, nous sommes dans un donjon RPG. Donc c’est tout à fait normal ! Quant au style des personnages, il est bien fait et le résultat est très beau.
Concernant la musique… C’est tout simplement génial ! Elles sont belles et très entrainantes. Ça nous immerge un peu plus dans le jeu.
L’histoire nous entraine dans la ville de Palm Brincks, endroit d’où ne peuvent sortir les habitants. On commence le jeu en dirigeant Maximilien, apprenti inventeur et fils d’une famille aisée, qui aimerait retrouver sa mère qui a disparu quand il était petit. Un jour, un cirque débarque en ville. Intrigué par cette fantaisie, il décide de s’y rendre. Mais arrivé là-bas, il entend par hasard une discussion entre le maire et le dirigeant du cirque. Ceux-ci parlent d’une pierre précieuse qui se trouverait dans la ville… En entendant cela, notre héros eut un déclic. Il se trouvait que cette pierre se trouvait autour de son cou. Pris par la surprise, il se fit malheureusement remarquer par le maire et le dirigeant du cirque. De ce fait, afin de les éviter, il dû fuir en dehors de la ville. Ce qui est interdit... Il découvre alors que le monde est complètement détruit et que Palm Brincks est la dernière ville à exister. Il apprendra un peu plus tard que c’est l’Empereur Griffon qui était la cause de ce massacre. Touché par ce paysage apocalyptique, Max va donc essayer de stopper la destruction et de reconstruire le monde comme il était avant. Par la suite, il découvrira que la pierre qu’il possède lui permet de voyager dans le futur et qu’il y a une autre pierre qui, quant à elle, permet de voyager dans le passé. Cette dernière est portée par une jeune fille nommée Monica, qui est la fille d’un roi tué dans le futur. Ayant les mêmes idéaux que notre héros, elle décide de le rejoindre pour reconstruire le monde.
Pour réussir cela, il faut que nous nous attardions sur la construction des villes. Une fois sorti de Palm Bricks, nous arrivons dans une forêt où le village a été ravagé. Il ne reste qu’une maison… A l’intérieur de ce logement, les petits hommes prêtent à nos héros une machine qui permet de reconstruire les villes. Et donc, c’est avec des géopierres que l’on arrive à apprendre de nouvelles constructions. Il y a également des critères pour respecter la ville d’origine. Nous pouvons recruter des personnes de Palm Bricks pour qu’ils aillent habiter dans la ville que l’on construit. Ce qui est très pratique pour la développer. On remarque aussi que chaque chose que l’on apporte dans la construction de la ville modifie le futur et grâce aux pierres, on arrive à voyager dans l’avenir pour voir l’évolution de la ville. C’est, d’ailleurs, très pratique pour avancer dans le jeu. Car souvent, dans le futur, on nous donne des objets qui permettent d’avancer dans les donjons. Concernant ces derniers, on remarque que lorsque l’on entre dedans, une carte apparait. Sur celle-ci, on choisit le niveau dans lequel on veut aller. Point important : les niveaux sont générés aléatoirement. Donc ne vous attendez pas à retrouver toujours la même chose ! Par contre, ils ont tous un point commun : un boss.
Ce que nous trouvons aussi très sympathique, c’est le fait qu’il y est d’autres activités que les donjons. On trouve un système de pêche avec des concours qui sont très amusants. Le Spheda, une sorte de jeu de golf dans les donjons qui donne de très beaux cadeaux. Et il y aussi un système d’invention. Dans celui-ci, nous utilisons un appareil photo avec lequel on prend des photos des items qui, si on les mets ensemble, donne des objets. Il y a plus de 500 photos à prendre alors soyez patient !
Maintenant, nous allons nous intéresser aux personnages. Comme vous le savez, nous dirigeons Maximilien et Monica. Chacun utilise deux armes : une à distance et une au corps à corps. Le jeune homme utilise une clef à molette et un pistolet. C’est assez original car on aurait pu s’attendre à une arme plus classique. Quant à Monica, elle, utilise une épée et un brassard magique. Le héros a la particularité de conduire un robot qui est, au début, très puissant. Mais à la fin… est nul. Totalement nul. Concernant l’héroïne, celle-ci a la capacité de se transformer en montre. On aurait pu s’attendre à ce qu’elle soit, de ce fait, très forte. Pourtant, on découvre bien vite que cette transformation est aussi nulle.
Les armes des personnages montent de lvl et en s’améliorant, on peut leur ajouter des gemmes qui montent leurs stats. Par la suite, cela permet de les transformer pour les améliorer. On a pu voir que certaines armes sont, d’ailleurs, très belles. Et ce système de gemmes est vraiment très efficace. Il y a également un autre moyen d’augmenter les stats de nos héros : en trouvant des objets dans le futur. En effet, il n’y a pas de système d’armure, il y a seulement la possibilité de changer les vêtements de Max. Et donc, on ne peut pas qu’améliorer leurs armes.

En résumé, Dark Chronicle est un jeu qui ne fait pas des combats sa priorité. On retient plus ce système de construction des villes afin de faire revivre ce monde dévasté. De plus, avec le retour dans le futur, on peut voir avec plaisir nos villes évoluer. C’est agréable de voir que notre travail a porté ses fruits !