Les plus :
- L'immensité des environnements et leur interaction.
- Les modifications/créations partageables par les joueurs.
- La mise en scène parfois (surtout pendant les phases d'Hadès).
- Les tyroliennes qui rajoutent un peu de piment.
- La note d'IGN.
Les moins :
- Le gameplay et le contenu à la rue.
- La topographie redondante les 20 premières heures de jeu.
- L'aventure principale qui avance à vitesse d'escargot.
- Les aller-retours incessants (surtout pour les quêtes annexes).
- Plus d'aberrations que d'émerveillement dans son Design.
- La physique des véhicules, l'IA des ennemis.
- L'interface parfois trop surchargée et des menus perfectibles.
- Très niais et con par moment (merci les likes).
- La presse française.
Conclusion : Véritable aberration AAA open world de cette fin d'année, Death Stranding déçoit sur de nombreux points là où il devait se démarquer de la concurrence (son lore, son scénario). En outre, il ne propose que le minimum syndical d'interaction alors que ses prédécesseurs (Dark Souls, Breath of The Wild entre autre) avaient été beaucoup plus loin dans tous ces aspects.
Sans le comparer au gigantisme d'un Red Dead 2, il se rattrape sur ses somptueux, quoique vides, panoramas où déambulent quelques fantômes égarés et livreurs-chapardeurs addicts qu'on envoie valser sans aucune difficulté. On notera la complaisance de la presse française pour qui les nombreux défauts n'ont pas d'influence sur l'expérience de jeu, bien triste (d'ennui) au passage tant dans la redondance des premières dizaines d'heures de jeu que dans son écriture globale. Du potentiel certes, mais que c'est chiant.