Devil May Cry 3, quel putain de rattrapage, il a sauvé la franchise du fiasco qu'été le 2.
Ici ce sont les séquelles du 1er Devil May Cry, on y contrôle un Dante assez jeune et arrogant, le personnage est extrêmement réussi. L'humour qu'il y a dans le jeu est dosé à la perfection, des blagues efficaces qui font rires et qui n'en font pas de trop. Ici on a un panel de coups assez fournis avec les styles différents que peut avoir Dante, mais surtout il y'a de nouvelles armes. Oui il y avait déjà de nouvelles armes dans le 2 mais hé c'est juste l'esthétique hein, ou à part la vitesse des coups rien ne changeait faut pas déconner. Ce Devil May Cry par contre a remonté la difficulté, avec Dante on rote du sang haha, à cause du fait qu'on est pas le Devil Trigger immédiatement, il faut attendre la mission 6 je crois de mémoire. Le jeu a retrouvé son côté rapide et nerveux, on sort les coups assez facilement, les combos cette fois sont logiques et bordel on peut contrôler Vergil dans cet opus ! Gros gros point fort d'ailleurs sur le dernier costume de Vergil qui ici en Devil Trigger se transforme en Nelo Angelo (boss du 1), c'est une boucherie je vous assure. Le bestiaire est pas mal fournis ici aussi même si les mobs les plus rencontrés sont ces espèces de faucheuses des sables. L'histoire ici est déjà mieux travaillée mais ça ne reste pas fou, il faut tout simplement empêcher Vergil et Arkham (le père de Lady, personnage féminin qui deviendra important par la suite) d'ouvrir le portail du monde des démons pour récupérer la puissance de leur père Sparda.