Calme-toi jeune éphèbe dont la culture sexuelle s'étend des performances orales de Laurence Ferrari aux exploits d'élasticité anale de Sasha Grey. Calme toi, ce titre n'est pas une réplique de "Refais moi la tuyotterie vol. 5".
Le fait est que, si Mario Kart 64 était sans concurrence à sa sortie, Diddy Kong Racing le surpasse à tous les niveaux. Là ou MK64 se contente de flirts entre plombiers sur des karts, DKR offre à nos esprits malsains des partouzes géantes entre tigres, singes et autres ours, le tout en voiture, hydroglisseurs ou avions.
D'autres arguments ? Un menu principal sous forme de niveau à explorer, des boss de fin de level, un mode battle inépuisable (aaahh la pyramide de glace, souvenirs) et des véhicules aux comportements parfaitement distincts. Seul défaut, les 3 pauvres items, chacun étant néanmoins échelonné sur trois niveaux.
Voilà, c'est un fait, DKR est grand, il dépèce et enterre MK64 en mode Marc Dutroux. Trève de blabla, DKR, c'est encore Eric Besson qui en parle le mieux :
"Des singes dans des avions ; j'ai découvert ma vocation politique avec Diddy Kong Racing". Eric Besson, 2009.