Pantalons pattes d’éph, coupes afro, disco et rouflaquettes. Avec Driver : Parallel lines, replongez dans le New-York des années 70. La bande-son est un vrai bonheur : Iggy Pop, Blondie, David Bowie ou encore The Stranglers. On roulerait des heures, juste pour la musique. Avec des cinématiques très bien réalisées, on se croirait dans un mélange de « Bullit », « Easy rider » et « La fièvre du samedi soir ».
Basé sur un scénario assez ingénieux, vous incarnez le chauffeur The Kid en 1978 et en 2006. Entretemps, votre personnage a été en prison, suite à la trahison de ses anciens « amis ». L’occasion de découvrir de nouveaux véhicules, une ville transformée et une bande-son plus musclée.
Au-delà de l’ambiance, le jeu déçoit un peu. Techniquement, il ne fait pas le poids face à son concurrent direct, Grand theft auto : les décors sont monotones, la conduite en moto ingérable et les phases à pied poussives.