Elite Beat Agents, thanks for the pleasure
La première fois que j'ai entendu parler d'Elite Beat Agents, je me suis dit "M'ouais, un jeu de rythme...", quand je l'ai vu en magasin, je me suis dit "M'ouais, pour 10 euros ça devrait être amusant quelques minutes..." et après y avoir joué des dizaines d'heures, après avoir fini le mode hard rock après des centaines d'essais sur de nombreuses musiques, j'ai éjaculé jusqu'aux étoiles du firmament.
EBA, c'est une bande-sonore de très bonne qualité : Makes No Difference, Let's Dance, Y.M.C.A., September et bien d'autres qui font limite danser avec la console. C'est pas conseillé, je vous jure, croyez-en mon expérience.
EBA, c'est un cachet visuel énorme avec des scènes typées manga animé mettant en scène des personnages superbement bien dessinés.
EBA, c'est un gameplay dantesque qui offre d'excellentes sensations, surtout dans les niveaux de difficulté les plus élevés. Le mode hard rock, tellement masochiste, tellement bon.
EBA, c'est des séquences scénarisées avec le plus grand soin, les situations drôles, épiques et touchantes se mélangent avec brio. C'est bien le seul jeu de rythme qui a réussi à me faire pleurer, You're the Inspiration plus une gamine qui n'a plus son pôpa, fatal combo.
EBA, c'est Etonnamment Bon Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah (référence au premier paragraphe).