Ah FarCry ! Ses plages de sable blanc, ses cocotiers... et ses mercenaires armés jusqu'aux dents. Les 3 points forts du jeux étaient sans conteste ses graphismes qui flattent la rétine, la taille de ses niveaux et l'IA de ses ennemis. On était loin d'un call of duty-like et ses hordes d'ennemis décérébrés ne sachant rien faire d'autre que rester derrière une caisse ou venir s'empaler sur vos balles. Non ici, nos mercenaires vont prendre un malin plaisir à se mettre à l'abri quand ça sent le roussi pour eux, ou bien à envoyer leurs camarades vous contourner pour vous prendre par surprise. Vous pensez qu'attaquer le camp de mercenaires à bonne distance à l'aide d'un fusil de sniper sera une partie de plaisir ? Détrompez-vous, au premier homme abattu, tout le camp passera en état d'alerte et ils commenceront à vous traquer à grands renforts de grenades et hélicoptères. Certes la deuxième partie du jeu s'avérait plus brouillonne avec l'introduction des mutants. Le jeu ressemble alors plus à un FPS classique, surtout pour ses niveaux se déroulant en intérieur. FarCry garde une place particulière dans mon coeur car c'est le jeu qui par sa difficulté relevée et son système de sauvegardes par checkpoint m'a appris à jouer correctement à un FPS.