Une petite soirée devant moi et je me dis que je peux lancer Florence, critiqué dans le podcast Silence on joue.
Je sais que c'est un jeu court et que je ne vais pas avoir beaucoup de choses à jouer...Et effectivement, c'est davantage une sorte d'histoire interactive qu'un jeu vidéo. Les illustrations sont plutôt réussies, sous forme de BD et très colorées. Tout s'anime correctement.
Alors, l'histoire est assez classique mais plutôt assez prenante. On doit ça et là interagir sur des actions banales (se brosser les dents, répondre à des textos, ...). Les petits mécanismes utilisés sont assez bien pensés et font qu'on accroche (rassembler des pièces de puzzles de plus en plus simples pour illustrer une conversation qui devient plus fluide par exemple).
Je ne suis pas certain que les choix effectués influent vraiment sur le chemin que prend cette histoire d'amour mais c'est assez agréable à suivre même si on devine assez vite où ça nous mène.
Je pense qu'on peut facilement s'identifier à cette histoire et elle marquera son public plus ou moins en fonction de ce qu'il aura vécu.
C'est donc une histoire singulière, originalement narrée, douce et qui pourrait permettre à un lecteur de passer au jeu vidéo, musique en supplément...Mais pas d'intérêt à le relancer.
Joué sur Switch, fini en 45 minutes