Il y a deux jours à la Saint-Valentin, j’ai fait l’erreur classique ; j’ai offert un parpaing à ma petite-amie. J’ai compris à son air hébété que j’avais fait une gaffe, mais il a fallu que je joue à « flower » pour comprendre pourquoi je m’étais pris un vent :
Les fleurs c’est beau ; le béton et la ferraille c’est moche.
Avec un message d’une telle portée, d’une telle originalité, comment ne pas comprendre le succès de ce jeu !
Comme si ça ne suffisait pas, son gameplay est tellement ingénieux ! il faut toucher des fleurs ! Et attention, à un moment… il faut faire le tour d’une botte de foin… Du génie ! J’en étais complètement retourné.
Faites-vous donc une fleur… évitez flower.