Pardon ? Si j'ai fini Ghost'n'Goblin ?
Bien sûr que non, qui serait assez fou pour s'infliger autant de souffrance pendant autant d'heures, juste dans le but de finir un jeu ?
...
Ah oui ? Autant que ça ?
Ah d'accord.
Bon, bien évidemment, Ghost'n'Goblin n'usurpe pas sa difficulté légendaire, la preuve étant que je n'ai pas eu la force de le finir. Pour l'époque, le jeu n'est pas forcément d'une beauté affolante, mais il sait admirablement bien vous séduire par son univers burlesque et loufoque : en témoigne l'introduction du héros, qui est en caleçon pépouze.
Le challenge devient très vite intense, et on bénira les développeurs de ne pas avoir muni le héros d'une arme de combat rapproché, sinon je ne vous dis pas le nombre de tonnes de manettes cassées qu'il aurait fallu enfouir dans l'océan.