Alors que durant les 15 premières heures, Ragnarök dépassait sans problème son prédécesseur... Que ce soit dans sa technique hallucinante, le gameplay affiné, le lore approfondi et un Kratos bien plus humain et touchant (le final est très réussi), cette suite transcendait l'opus de 2018...
Jusqu'à ce que Santa Monica commence à jouer la montre et transforme la deuxième moitié du jeu en recyclant niveau, multipliant les aller-retour incessant, proposant que peu de nouveauté niveau environnement... Le rythme s'en trouve totalement flingué et il faudra attendre le grand final pour retrouver de l'intensité (et ce malgré un combat de boss final limite ridicule, n'ayant jamais la puissance de celui de 2018) !
C'est un vrai acte manqué alors que le studio tenait une suite vraiment réussi. Ragnarök restera une suite sympa, ébouriffant par sa mise en scène et son histoire, mais échouant à égaler son modèle...