Redécouvrir l'histoire du roman à travers un jeu vidéo d'une fidélité scénaristique parfaite

Tout comme ces deux prédécesseurs du premier opus sur les consoles portable (GBC/GBA), il existe pour celui-ci aussi deux « versions » différentes. Car en effet ; qu'il soit question de game play ; de technique ou de narration, la différence est indéniable.
Ainsi, rien quand prenant comme exemple le chapitre 2 ( « L'avertissement de Dobby) du livre qui est à l'origine du développement du jeu. Nous prenons conscience de cette différence avec les autres jeux du même nom. Car ici, nous pouvons interagir avec l’environnement de la chambre du jeune Harry Potter chez les Dursley. Car au commencement du jeu, ce dernier cherche ces affaires scolaire avant de s'enfuir avec les Weasley qui étaient venus le chercher à bord de leur voiture volante. Ceci est absent dans les autres jeux. Puisque nous avons uniquement droit à une cinématique.


En ce qui concerne le développeur du jeu. Je ne vais pas m'éterniser puisqu'il est identique au premier jeu sur cette même plate-forme. Du coup, nous retrouvons le même style graphique. Mais faut bien avouer qu’ici, c’est plus fluide.


" Alors qu'Harry attend avec impatience la fin des grandes vacances. Il reçoit malgré lui, dans sa chambre, l'elfe de maison Dobby. Il lui annonce qu'un terrible danger menace l'école de sorcellerie Poudlard et qu'il ne doit pas y retourner pour effectuer sa deuxième année.
Mais, malgré cet avertissement, Harry retourne en cours. Ce dernier sera ainsi très vite plongé au cœur d'événements dont l'héritier de Serpentard serait manifestement à l’origine."


C'est donc, avec un très profond regret que je viens tout juste de découvrir le jeu qui est clairement le plus complet de la saga toute plateforme confondu. Car en effet, aucunes autres adaptations d'un opus de la saga peut se vanter de suivre à 95% la natation du roman qui porte son nom. Car en effet, même si la version PS1 possède presque toutes ces qualités de suivre chapitre pars chapitre l’œuvre originel ; ils y à quand même des absents.


Ainsi, le jeu sur GBC s'oppose tout comme le 1 ; aux autres plate forme du même jeu. Puisque dans les autres jeux (je ne prends pas en compte Harry Potter Lego), nous restons à l’extérieur du Terrier sans entrée dans la demeure.
Alors qu’ici, non seulement nous pouvons visiter toutes les pièces de la maison. Mais nous pouvons aussi nous battre contre des produits ménagé ensorceler pars Arthur Wesley. Petit clin d'œil au personnage présent dans le livre. Car celui-ci est fasciné, pars les objets moldu (personne sans pouvoir magique) est ne peut s’empêcher dis toucher.


Après peut-être que les fans de la première heure bouderons l'absence de la coupe des quatre maisons. Mais personnellement,je ne le regrette pas. Puisque cette dernière aurait rien apporter à l'histoire. Car après tout, à la fin du roman, cette dernière fut supprimée en même temps que les examens de fin d'année. Cela fait donc sens de ne pas l'avoir incorporé dans le jeu.


De plus, en ce qui concerne le collège de sorcellerie Poudlard, en lui-même. Il est aussi vaste que dans le premier opus sur cette même plate-forme. Mais quelque changement esthétique et pratique furent les bienvenues. Car dans le premier volet, le château était très grand, linéaire et fallait compter sur sa mémoire pour si retrouver. Puisque l'incorporation de carte qu'on pouvait trouver à chaque étage ne fut mise en place qu'à partir « de la chambre des secrets ». Chose très pratique pour ne pas subir la colère du professeur Rogue. Il ne faut pas oublier la présence de PNJ qui sont présent. CAR ces derniers avais un discours différent, selon l’avancement dans l'aventure. Comme cette fille que l'on croise à un moment avant d’arriver au bureau de Lockhart pour l'heure de retenue qui apporte une petite touche d'humour.



Oh, t'as une retenue avec lockhart. La chance ! Tu pourras lui dire
que j'étais très vilaine moi aussi ?!



Que nous pouvons retrouver à travers plusieurs personnages au cours de l'aventure. Cependant, il est dommage de constater que beaucoup on le même discours.


L'aspect technique du jeu :


Les combats : identique à ceux du premier jeu sur cette même plate-forme. C'est-à-dire des combats au tour pars tour. Mais de manière plus fluide et moins donc moins figé que le précédent.


Les sorts : les principaux sortilèges comme : « flipendo » et « vermillis » possède trois niveaux de puissance. Ces niveaux supérieurs se débloquent automatiquement au bout d'un certain d'utilisation intensif du sortilège qu'on utilise le plus.


Il est possible d'obtenir des sorts comme « fumos » en accomplissant une quête au cours de l'aventure.


Monter de niveaux : identique à Pokemon. C'est à dire que plus on combat d'adversaire plus on obtient d’expériences donc de states. A ne pas négliger pour terminer le jeu.


Niveaux de difficultés: Contrairement à « Harry Potter à l'école des sorciers » qui étais plutôt neutre niveau difficultés A l'exception du boss final … Dans celui-ci, il ne faut pas sous-estimer la difficulté des boss. A moins que le challenge et la possibilité de se prendre des stop plus ou moins féroce soit une source de motivation pour bouder le farm de monter de niveaux. Mais tout de même attention ! Car, le boss final « de la chambre des secrets » qui n'est autre qu'un magnifique basilic n'est pas un plaisantin. Puisque sans une bonne préparation adéquate, il sera impossible de le vaincre. Car contrairement à d'autres versions d'harry potter 2 ; nous ne possédons pas notre baguette magique pour affronter le boss. Mais nous somme armée de l'épée de Godric Gryffondor (tout comme le livre et le film du même nom). Cela ne s'arrête pas là. Puisque Fumseck, le phœnix de Dumbledor nous prêter patte forte dans ce terrible affrontement.
Ceci s'explique pars deux raisons :
notre jeune héros n'a plus sa baguette magique. Mais une épée qui n'a qu'une seule action. Dont un pourcentage neutre de rater sa cible.
L'impossibilité de soigner et ou ressusciter le phœnix ; puis faut pas oublier que si ce dernier meurt, autant dire que le game over est inévitable.


Le jeux possède au coeur de son histoire quelques mini-jeux:


Lancer de gnome: C'est une chasse à la mauvaise herbe version sorcier. Ou nous somme en compétition contre Ron. Sur les autres consoles, ce principe existe, mais sous une autre forme quoique similaire.
Bowling fantôme : il faut lancer la tête d'un fantôme contre des quilles en forme de squelettes. Mini jeu unique sur GBC
Quidditch; tout comme le lancer de gnome, existe sous plusieurs formes.
Ces mini-jeux très sympathiques permettent de sortir de la routine des combats. Puis faut avouer qu'on y prend vite goût à les refaire.


Pour conclure, même si le désigne du premier opus à été repris, mais en un peu plus amélioré. J e trouvé que la thématique du farm des combats pour accroître ces stats. Tire en longueur. Après peut-être qu'étant donné le nombres considère d'heures que j'ai passé sur les jeu pokémon sur Game Boy Color qui reprend la même thématique de combats. Fait que je m'en lace facilement…
Cependant, je trouve que la narration reste très fidèle au livre. Puisque le scénario reprend quasiment le livre ;chapitre pars chapitre. Donc, au final, c'est quasiment un sans-faute qui est à mes yeux, un gros coup de cœur. Après, même si c'est un jeu qui est sorti à terme de la vie de la Game boy Color. Les graphismes et la bande son sont tout simplement sublime.

Ice-Cook
9
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le 14 juil. 2019

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Ice-Cook

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