Très très sceptique au premier abord, notamment devant certains choix artistiques, j'ai ensuite été pris dans cette grosse demie heure cyclonique "Noé Virtualy Style", malsaine, dérangeante et impeccablement bien emmené, qui finira également par trouver une raison d'être au sein de ce récit introspectif sur la condition humaine, bien plus compréhensif que ce qu'il peut paraitre.
Vraiment dommage que la tension s'abaisse lors de cette dernière partie plus "académique", même si Jan Kounen semble être passé par la, et que les deux personnages centraux aient si peu d'envergure, car il y avait le potentiel de faire quelque chose de littéralement foudroyant.