La puissance de l'hexagone
La série des Hexcells reprend à peu de choses près le jeu du démineur, mais l'agrémente de plusieurs éléments un peu plus complexes notamment empruntés au jeu du picross. Cette critique est...
Par
le 14 sept. 2015
Dernière sortie en date dans la série Hexcells cette version Infinite - avec sa promesse de génération aléatoire de puzzles - rate le coche. C'était pourtant la réponse évidente au contenu assez chiche des deux premiers opus. Seulement voilà : ces puzzles aléatoires ne présentent pas grand intérêt à résoudre (en plus d'être assez simples), et surtout pas celui de ceux patiemment élaborés à la main. De fait on abandonnera assez rapidement ce mode infini pour se satisfaire de la sélection de puzzles préconçus - qui n'apportent pas grand chose de neuf à l'édifice Hexcells même si le principe reste plaisant - et pour un contenu... plutôt chiche ! De fait l'intérêt est assez limité pour les joueurs qui ont bouclé la version Plus, la difficulté étant ici en sensible recul et les tutoriaux occupant toujours une grande partie des puzzles proposés.
Créée
le 8 nov. 2016
Critique lue 151 fois
D'autres avis sur Hexcells Infinite
La série des Hexcells reprend à peu de choses près le jeu du démineur, mais l'agrémente de plusieurs éléments un peu plus complexes notamment empruntés au jeu du picross. Cette critique est...
Par
le 14 sept. 2015
Infinite n'est pas vraiment plus long ou plus complexe que son prédécesseur. Il n'apporte pas de nouvelles mécaniques de jeu (bien que certains niveaux fassent appel à des subtilités qui n'avaient...
Par
le 9 mars 2015
Du même critique
Bethesda a atteint un tel niveau de médiocrité avec ce Fallout 4 que même le ressort habituel de l'exploration d'un vaste monde pour y découvrir les quelques pépites qui s'y cachent - lieux...
Par
le 16 nov. 2015
16 j'aime
3
Je ne vais pas beaucoup m'étendre sur sur ce deuxième opus et pour l'essentiel je renvoie à ma critique d'Innocence :...
Par
le 24 oct. 2022
15 j'aime
Sous la direction artistique le néant... ou presque. Dordogne est symptomatique d'un mal qui ronge le jeu vidéo français depuis (presque) toujours et indé depuis pas mal d'années : le truc narratif...
Par
le 16 juin 2023
12 j'aime
6