Catch Me if You Can
Tenter de résumer l'essence d'Hitman est une mission périlleuse. La première erreur serait d'en attendre un jeu d'infiltration classique où traverser la map en position du canard suffit à la...
Par
le 17 avr. 2019
9 j'aime
Cette critique fait suite à celle de Hitman 1
Deux ans plus tard sort la suite qui délaissera le format épisodique pour un jeu à part entière cette fois-ci. Et comportant 8 missions en incluant les deux du DLC.
D'ailleurs certaines d'entre elles m'ont particulièrement marqué par leur taille démesurée comme celle se déroulant à Bombay. Certainement une des villes les plus vivantes et des plus crédibles qu'il m'ait été donné de voir dans un jeu vidéo.
Un opus un peu plus bavard qu'à l’accoutumé. On sent que l'Agent 47 s'est "lâché" par moments avec certains dialogues étonnamment drôles mais tout en gardant son sérieux. L'exemple qui illustre le mieux ce propos est le contrat se déroulant à Whittleton Creek aux USA, où 47 joue un agent immobilier un peu trop "honnête".
Dans le premier opus, chaque niveau était précédé de cinématiques servant à illustrer l'intrigue et briefer la mission à venir. Ici pour une raison qui m'échappe encore aujourd'hui, elles ont été remplacés par des images fixes qui défilent tels des diaporamas. Des images que je soupçonne d'être capturées de cinématiques qui de base devaient être en mouvement.
L'opus de 2016 avait vu l'apparition des cibles fugitives. Des contrats uniques que l'on ne peut faire qu'une seule fois durant une période donnée. Et faisant disparaitre la cible à tout jamais en cas d’échec ou de délai dépassé. N'ayant pas pu en profiter à l'époque de la sortie du premier, je me suis rattrapé sur le second volet qui frappa fort en intégrant Sean Bean au sein de la première mission fugitive du jeu. Acteur connu pour mourir assez souvent dans ses films, et qui pour l'occasion avait joué de son image en devenant la cible à abattre.
Ce même opus aura réintroduit un des grands classiques de la franchise qu'est le mode Sniper Assassin. Se jouant exclusivement au fusil de précision et avec lequel on devra abattre nos cibles à distance sans bouger de son spot. En ce qui me concerne, j'en suis pas un grand fan. Je préfère largement être sur le terrain au plus près de mes cibles.
Un opus dans la plus pure continuité du précédent qui ne faisait que préparer le climax qu'allait être l'ultime épisode.
Vous pourrez retrouver cet article et bien d’autres sur mon Blog : niindo64.com
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Les meilleurs jeux d'infiltration et Mes jeux PSN (PS3, PS4)
Créée
le 24 janv. 2022
Critique lue 35 fois
D'autres avis sur Hitman 2
Tenter de résumer l'essence d'Hitman est une mission périlleuse. La première erreur serait d'en attendre un jeu d'infiltration classique où traverser la map en position du canard suffit à la...
Par
le 17 avr. 2019
9 j'aime
Tuer fait parti du jeu. Je dirais même que "tuer" fait parti de tout les jeux.Et ça, personne ne s'en plaint, moi y compris, car on est tous pareil. On veut tuer plus, tuer mieux, tuer vite, tuer...
Par
le 31 déc. 2018
8 j'aime
Parlons de Hitman 2 ! J'avais beaucoup aimé Absolution dans l'absolue même si l'idée même derrière cet opus s'éloignait des anciens jeux. Je n'ai jamais fait les anciens (que je ferai très...
Par
le 14 déc. 2019
6 j'aime
Du même critique
Pour moi c’est un épisode assez inégal. La faute d’abord à des plateaux trop petits, très peu inspirés où soit il ne s’y passe pas grand-chose, soit tout le temps la même chose, et surtout pas assez...
Par
le 7 janv. 2019
8 j'aime
Déjà 10 ans après sa sortie, j’ai envie de revenir sur celui que je considère encore aujourd’hui, comme un des jeux de plateforme 3D les plus novateurs jamais sortis. Combo Gagnant Et la principale...
Par
le 9 févr. 2017
7 j'aime
6
Si je ne devais retenir qu'une seule OST de 2017 (et peut être même de cette génération de consoles pour le moment), ça serait celle de NieR Automata composée par Keiichi Okabe qui avait déjà œuvré...
Par
le 27 janv. 2018
6 j'aime
3