Une frimousse : Conduit en état d'ivresse
Sucker Punch. Non, pas le film de merde, le Studio.
Souvenez-vous, Rocket : Robot on Wheels, peu avant le vingt et unième siècle, une cartouche rouge ou grise que l’on trouve encore facilement pour de psalmodiques sommes sur la Baie des Internets. Edité par Ubisoft et paru sur la Belle 任天堂64 en 1999; avant d’enchaîner avec la trilogie des Sly Raccoon qui pour l’époque était impressionnante.
On délaisse ensuite le genre artistique pour passer à des univers plus sombres, plus larges. Infamous premier du nom est un terrain d’expérimentation techniquement imparfait mais relativement jouissif au niveau de son gameplay. Un héros qui, à la manière d’une lamproie, s’accroche à chaque recoins d’Empire City à coup de grosses pertes de fluidité. Nous sommes en 2009, avec une moyenne approximative d’un jeu tous les deux ans, Sucker Punch tient à sa licence et tente un second opus. Escale à New Marais. 2011.
Sony à l’appui, on mise une fois encore sur la puissance du SPU pour gérer des animations plaisantes et solides mais limitées matériellement. Le studio parvient tout de même à bonifier une licence non dépourvue de défauts mais que nous avons été un grand nombre à apprécier malgré tout.
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