Un symbole

Jak 2 : Hors La Loi est un symbole. À lui seul, il représente surement la meilleure oeuvre jamais faite pour sublimer la communauté cancéreuse tout média confondu de ce monde. Le jeu propose un virage important par rapport aux précédents. Jak II c'est l'arrivé de l'overboard, Jak qui parle, les armes, le charmant abryville qui donne sur des vrais niveaux extérieur ( dont certains encore plus poétique que le premier dans l'environnement et la musique comme l’abriforêt jak 2) , Dark Jak, le contrôle de robot, les voitures volantes les courses et le trois j'en parle même pas. Un énième jeu détruit par les fanboy incapable d'aimer autre chose que la même recette suite après suite. À croire qu'à l'instar d'un jeu ubisoft, il faut refaire la même recette encore et encore pour contenter les joueurs. Le site jeuxvideo.com propose un test vachement objectif avec une note de 14/20 et une conclusion je cite " une décéption j'vous dis .. "

Mettons ça de côté, le jeu est magnifique graphiquement pour de la PS2, sublimé par une optimisation exceptionnelle et un D.A varié et unique. Ici, on a une bande son qu'on reconnaîtra tout de suite et qu'on entendra que dans Jak 2, sans qu'elle rappelle celle d'aucune autre oeuvre vidéoludique.
Le gameplay est l'un des plus abouti jamais fait, la maniabilité de Jak, sa souplesse incroyable, les subtilités et les armes ( magnifiques d'ailleurs ) se combinent pour donner un rendu tout simplement jouissif. L'overboard vient s'ajouter pour aller plus vite quand l'envie nous prend et a lui aussi un gameplay lourd permettant de réaliser des figures.

Open World unique qu'on a pas l'habitude de voir dans un jeu vidéo, une ville charme aux quartiers variés , pas trop grande et donnant la majorité du temps sur de vrais niveaux extérieurs et non à l'intérieur de l'open world lui même, ce qui est très rare pour un OW.

Sans doute une des meilleures oeuvre vidéoludique et le meilleur jeu de Naughty Dog avec son successeur en ce qui me concerne.

Mais surtout un symbole qui nous conforte sur le fait qu'il y aura toujours une communauté misérable pour cracher sur un studio qui innove en aimant ce qu'il fait.