The shortest Journey.

Critiquer de manière rationnelle Journey va être un exercice compliqué. J'ai l'impression qu'aucun mot ne convient pour décrire la beauté de ce que l'on éprouve tout au long de ce voyage. On m'a glissé à l'oreille que Journey ne se jouait pas, mais se vivait et c'est tout à fait ça. On est dans l'expérience émotionnelle et sensorielle. La prise en main est intuitive et archi simple, naturelle, et dès les premiers instants on se laisse absorber par l'hyper cohérence de cette association parfaite de musique et d'images. Et puis le multi sans aucun échange verbal mais où on a l'impression de communiquer par télépathie est particulièrement bien amené ; ce compagnon anonyme ressent ce que je ressens et au delà des mots, ça nous lie l'un à l'autre.

Mais bordel, qu'est-ce que c'est affreusement trop court.