Sous estimé par les jaloux.

Voilà je reviens après 5 ans de la publication de ma critique ; la Playstation 2 est démodée ce jeu là est dépassé ; mais ce qu'il y a c'est qu'hier je vagabondais sur Instagram plus précisément je revoyais les anciennes photos de Marc Eckō (créateur du jeu vidéo) et pam en plein dans le mille je tombe sur le commentaire suivant :

Never forget getting up contents under pressure game was really great for graffiti art hope some one can do another one like this on another level

Getting up est le genre de jeux qu’on pique par hasard car on entend rarement et négativement parler de lui toute fois cela n’est pas une raison valable qui nous permet de passer à coté, on doit lui accorder un essai

"NEW RADIUS était en vie , elle débordait de culture c'était l'age d'or j'aurais aimé être assez malin pour en profitez mais maintenant ils nous surveillent il guettent nos moindres gestes NEW RADIUS n'est plus le paradis des graffiteurs"

C’est ainsi et avec une puissante introduction que commence le jeu le personnage principale TRANE se dispute avec sa grand-mère qui lui demande de s’en aller sans jamais revenir .

Trane, ne siffle pas mot se retourne puis quitte le quartier pour cartonner le reste de la ville et faire connaitre son nom en commençant par la piscine municipale qui d’après lui est l’endroit où toute grande légende a commencé, sans faire exprès TRANE tague la pièce de « GABE » qui le surprendra par la suite et lui bottera les fesses pour lui faire comprendre qu’il n’est rien d’autre q’un pauv' toy (débutant) dés lors le jeu devient une sorte de vengeance

le scénario s’améliore en prenant un autre tournant et devient captivant : une histoire audacieuse mais de bonne durée surtout .

Semi Open-world : les décors tel un quartier au coucher du soleil dans lequel des voitures circulent sans vous faire de mal ; un train qui passe au dessus de vous et votre manette se met à vibrer entre vos mains ; vous passez devant un terrain de basket vous ramasser le ballon et l'utilisez comme arme à distance ; vous intégrez un établissement par la fenêtres en escaladant des tuyaux mais le plus de tous le coucher du soleil et la chanson du grand regretté Isaac Hayes qui passe en boucle ; des Ipod cachés qu'on retrouve par hasard ou par observation méticuleuse pour se débloquer des morceaux musicaux qu'on puisse les entendre dans le menu du jeu ; dés téléphones portables NOKIA qu'on traverse pour prendre en photos les graffitis des Artistes légendaires .

Sans blague ; comme par magie toutes les missions se déroulent la nuit ; allez taguez peindre sous un ciel orange changez à chaque endroit de desseins de couleur de forme passez d'un style à un autre d'un bombe à peinture vers un rouleau un autocollant ; c'est un jeu coloré ayez du style mes vrais amis Gamers ; profitez en démarquez vous des jaloux ; rare les jeux vidéos sur Playstation 2 réalisés avec tant d'amour et de soin .

Une larme du fond du cœur en hommage pour Marc Eckō's Getting Up: Contents Under Pressure un chef d'oeuvre qui n'a pas été reconnu à sa juste valeur .

PS : en débloquant certains élément nous obtiendront des renseignements sur plusieurs légendes du graff des informations que vous ne trouverez pas sur le net même si vous passerez un quart de votre vie à chercher