Mes yeux d'enfant notent la plupart des jeux vidéos coltinés avant 2002.
Lance Boyle.
Alice Evans en bimbo déjantée.
Peu de circuits, mais à chaque circuit son ambiance visuelle et sonore. Frissons d'évocation. Sombrex comme il faut : la fonderie, le Tibet, Mars, la Lune, le bayou, et le Bronx mec. Putain, à chaque fois, c'est beau !
Première manche, pète la gueule des autres sans te faire péter la gueule. Si tu termines dernier, t'as perdu.
Deuxième manche, pète la gueule des autres sans te faire péter la gueule. Si tu es au-delà de la quatrième place au classement cumulé des deux manches, t'as perdu.
Troisième manche, ne parle que la science du pilotage. Termine premier ou t'as perdu.
D'un environnement à l'autre, gère ton pognon, faut t'équiper en armes pour lancer devant, en armes pour lancer derrière (de l'huile par exemple), en arm(at)ure, tu te fais baiser sinon.
C'est difficile. Mais formateur.
C'est de la 3D précalculée camarade, ce qui se fait de mieux en '96, n'espère pas de la surface plane. Putain, et l'intégration parfaite des véhicules (amas de pixels bien baveux comme on les aime) aux pistes est techniquement impressionnante.
Ah, et : oublie tout aspect simu, et BOUFFE !
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