Allô Polis ?!

La première fois que je posais mes petites pattes de gamer sur ce jeux c'était en 2010 alors qu'il était encore exclusif à la Xbox 360. Me voilà 10 ans plus tard devant la version Redux sur PS4 Pro.
Le premier souvenir que j'ai gardé de cette aventure c'est "étrange" mis à part cette idée générale du jeux, en une décennie la plupart des souvenirs me paraissant lointain et vague c'est avec curiosité que je me suis laisser tenter à suivre l'aventure d'Artyom.

Me voilà à choisir le mode survivant en difficulté normal, aventure agréable avec tout de même son petit lot de stress. Tout d'abord j'ai trouvé le jeux jolie, un remaster de qualité, parcourir le métro moscovite avec cette ambiance si atypique. Ambiance qui est sublimée par le hud du jeux, minime au possible et nous laissant vraiment l'impression d'être au côté de ce héros muet ( muet, timide ou même associable je sais pas mais il en décroche pas une).
Héros qui sans parler a tout de même réussi à promettre d'aller à Polis, une ville station métro, pour y chercher de l'aide des rangers. Le scénario ce laisse suivre et ce développe à travers les différentes rencontres que l'ont vas faire durant le périple d'Artyom pour ma part mention spéciale pour Khan. Les différents chapitres sont tous assez varié pour ne créer aucune lassitude et cet univers fais de réseaux souterrains plus froids et étrange les uns que les autres nous donne envie d'en découvrir plus.

Côté gameplay ont est sur quelques chose d'assez classique mais que je trouve vachement efficace et son lot de quelques subtilité apporte de l'originalité avec entre autre la batterie portable à recharger pour garder son équipement électrique en état de marche. Le masque à gaz et les recharges d'oxygène mieux vaut en avoir en stock lors des petites excursions à la surface, l'air y est irrespirable. Pas question d'aller chez l'épicier du coin vos quelque passage à la surface seront assez bref entre le manque d'oxygène, les démons survolant la zone et les quelques autre abomination de ce monde post apocalypse, la mort rôde.

Pour arriver à la fin de cette aventure il m'a fallu à peu près une dizaine d'heures le jeux n'est pas trop court ni trop long, il à la durée nécessaire pour nous raconter son histoire, rien n'est là pour allonger artificiellement la durée de vie. Le jeux est au service du scénario et pour ma part ils ont réussi à m'envouter dans cette univers hostile mais chaleureux à la fois. Je suis impatient de découvrir sa suite "last light".

Ps: j'espère qu'Artyom c'est décoincer et qu'il vas à apprendre à décrocher quelques mots