The Last Of Us
Metro 2033 Redux est le portage Hd de Metro 2033 sorti en 2010 basé sur le roman éponyme de Dmitry Glukhovsky. Petit point "je raconte ma vie": J'ai joué a Metro 2033 a sa sortie sur mon pc, le jeu...
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le 16 juin 2015
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Metro 2033 Redux est le portage Hd de Metro 2033 sorti en 2010 basé sur le roman éponyme de Dmitry Glukhovsky.
Petit point "je raconte ma vie": J'ai joué a Metro 2033 a sa sortie sur mon pc, le jeu tournait en full TOUT POURRI à cause de mon PC digne des PC du CDI. J'ai galèré à la terminer à 12 images par secondes.
J'ai sauté sur un bon occas pour me fournir la version Redux sur PS4, pour laquelle je dédie une petite critique de son premier volet : Metro 2033
Metro 2033, c'est avant tout une ambiance. Après une apocalypse nucléaire lié à une énième guerre mondiale, la population de Moscou, du moins les survivants se sont regroupés dans le métro afin d'éviter les radiations et quitter ce monde détruit.
A la surface, c'est développé de nouvelles formes de vie, des monstres et des ombres. Réfugié dans le métro les habitants squattent les stations où ils vivent comme ils peuvent et se déplacent par les tunnels pour rejoindrent les stations voisines.
Bref, une nouvelle organisation, une nouvelle manière de vivre. Les enfants ne connaissent plus la pluie, le ciel ou encore l'herbe. Mais les tunnels sont eux aussi infectés de monstres ou créatures étranges...
Un univers propre à l'auteur du roman éponyme, le jeu y plonge à 100 % en quelques minutes. Les stations sont ultra réalistes, grouillantes de vie et de détails juste hallucinants. Le jeu prends son temps et nous fait planer dans la première station, celle ou Artyom (le héros) a vécu. On découvre les bars, les vendeurs d'armes, les postes de surveillances et les tensions qui existent dans ce monde souterrain.
L'insécurité, la corruption puis plus tard un combat entre les fascistes et les communistes sont encore d'autres éléments contribuants à la réussite du titre.
On visitera les profondeurs des tunnels du métro tout comme des moments à la surface de la terre dévasté. Un univers complet, cohérent et post apocalyptique.
Vivre dans le métro, se battre dans le métro ou à la surface de la terre radioactif comportent des risques et amènent des problèmes vis à vis du réalisme du jeu et de son gameplay.
La nuit : équipé de lampe torche, Artyom l'utilisera la majeure partie de son voyage. Mais dans un univers de pénurie, les matières premières ou les objets les plus utiles sont denrées rares et chères. Donc pas de pile. Notre lampe torche est rechargeable avec une petite turbine que l'on doit recharger de temps en temps. Element important à surveiller si on ne veut pas se retrouver dans le noir en plein combat...
Sur Terre: zone radioactive, nous devons porter un masque à gaz dès notre sortie des tunnels pour ne pas mourir asphyxié. Masque qui nécessite des recharges d'oxygène à trouver en fouillant les différentes zones. Les bobines d'air sont à changer toutes les 5 minutes montre en main (littéralement). Equipé d'une montre, nous verrons le temps restant avec notre réserve d'oxygène. La montre sonnera lorsqu'il faut changer la bobine. Element de plus a surveiller. Notons que le masque se brise petit à petit lors des combats et qu'il peut se nettoyer si la vue est obstruée par le sang.
Arsenal : fusil à pompe, lance flamme, mitrailleuse.. Armes nombreuses et toute différentes, certaines chauffent, s'enrayent et d'autres ont besoin d'être mis sont pression en pompant pour accumuler assez de pression pour l'utiliser. Encore des éléments à surveiller.
Bref vous avez compris, le jeu est très réaliste, dans la forme et le fond, ce qui rends l'aventure très prenante mais aussi assez complexe.
Le scénario se permet d'amener plusieurs sujets intéressants comme la lutte des classes, des idéologies mais aussi plus de la science fiction avec de nouvelles espèce et forme de vie ou d'énergie.
Le côté science fiction est vraiment réussi car en restant sombre et compliqué, le joueur se sent pourtant proche de la vérité et souhaite comprendre les différents événements que Artyom vivra.
Les nouvelles formes de vie et d'énergie engendré par la guerre nucléaire ouvre des perspectifs quant à la narration et des possibles suites. (Metro Last Light)
Les Ombres avec lesquelles communiquent Artyom, cette nouvelle espèce intelligente est fascinante. D'abord, lors de sa mise en contact avec Artyom, elle va essayer de communiquer et même de l'aider. Mais en avançant dans l'histoire, les ombres verront que le but du héro est de sauver le métro et les gens y vivant. En danger, cette nouvelle race qui utilise la télékinésie et la peur s'efforcera de vaincre Artyom afin de survivre. Les différentes scènes de rêve ou de folie rendent très bien.
Bien plus qu'un portage HD, le jeu se munit d'un nouveau moteur graphique, de modification de gameplay et d'un 1**080p à 60 FPS** sur PS4. Les textures sont sublimes, les différents de particules ou de fumée ultra réaliste. Les gouttes sur notre masque lié à la condensation c'est franchement réussi.
Les effets de lumières, c'est d'un excellent niveau. Bref niveau graphique et technique, le jeu est au top et peut se mesurer assez facilement à tous les jeux récents.
Le jeu point négatifs sont les personnages. Le portage HD n'a pas affecté les personnages, leurs mouvements ou leurs visages. Seulement les textures. Dommage sur ce point car les mouvements sont robotique parfois et assez lourds.
En dehors de ça, une immersion comme trop rarement dans un jeux vidéos. Une belle référence aux Stalkers.
En conclusion :
Les + :
- Une histoire noire et prenante
- Un univers incroyable, sale et immersif
- Des détails de gameplay jouissifs
- Des graphiques sublimes (sauf les personnages)
- Le prix du coffret Metro Redux
Les - :
- Personnage lourd
- Un peu court
- Arrtyom, l'homme muet.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Ce que j'ai joué en 2015 (avec annotations)
Créée
le 16 juin 2015
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