Ça fait 30 ans que Mortal Kombat déchire autant les écrans que les tripes de ses protagonistes. À la base, je détestais cette série, pour sa rigidité, le ridicule de son univers (hey, les ninjas colorés des nanards !) et la laideur de ses graphismes.
Depuis, si la licence s’est perdue sur des chemins douteux au fils des années, elle a retroussé ses manches à partir du neuvième épisode pour s’offrir un reboot à base de modification du passé (un moyen de revivre autrement les événements de la série), et une sacrée cure graphique à partir du dixième épisode.
On obtient donc en quelques itérations un tout cohérent malgré le joyeux bordel scénaristique toujours aussi nanardesque, mais raconté en grande pompe.
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