Les pirates bourrins
Cette génération de console ne nous aura pas permis de voir des millions d'adaptations d'anime/manga mais le genre musou/BTA est le genre qui a connu le plus de skin d'animation japonais (saint...
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le 5 oct. 2013
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Après avoir parcouru en long et en large Hyrule Warriors (Cross-Over Zelda/Musou), je me devais de tenter l’aventure sur une saga que j’apprécie tout autant : One Piece, enfin surtout le manga, je n'ai jamais essayé l'Anime.
D’ailleurs, l’aventure de One Piece à travers cet aspect Musou est d’ores et déjà un peu plus encré, car bientôt un 3ème opus sortira en Occident. Ceci étant, nous allons parler ici uniquement du 2ème opus ; le seul auquel j’ai joué.
Je pense que si vous êtes en train de lire cette petite critique, vous devez savoir ce que c’est un « Musou ». Pour ceux qui ne savent pas et pour être bref, en un mot : BOURRINAGE ! Du BTA à grande échelle !
Un exemple plus concret et démonstratif : Dynasty Warriors est un Musou, Devil May Cry ne l’est pas. Voilà la grande différence, car dans les Musou, le scénario est totalement mis à l’écart car n’est pas du tout important (ou très peu). Dans les Musou, nous devrons tuer des boss et/ou capturer des bases/territoires par exemple, tout en accomplissant les différents objectifs qui apparaissent au fur et à mesure à l’écran et ce, à chaque chapitre/épisode. Alors qu'un BTA plus classique, il y a une histoire, un fil rouge et aucune coupure.
La force d’un Musou, c’est sa qualité à nous transmettre ce sentiment de puissance de notre personnage en appuyant sur un seul bouton, nous pouvons éliminer plus de 100 ennemis en un coup et ça, c’est cool !
Ce qui est d’ailleurs encore plus cool, c’est de constater l’harmonie et le rendu parfait de l’univers de One Piece dans un Musou. Le côté humoristique avec ce gameplay nerveux et sa bonne prise en main où nous pouvons utiliser plus de 20 personnages différents tirés de la série avec chacun son propre style de combat rendent ce jeu vraiment agréable, malgré une redondance évidente qui pourra s’installer au fil des épisodes.
Par ailleurs, c’est d’autant plus marquant la qualité indéniable de ce soft en comparant avec le dernier Cross-over Musou qu’est Hyrule Warriors où le gameplay est moins riche, la Direction Artistique aux abonnés absents et les voix/dialogues de simples crie « yeah », « ah » et « prout ».
OPPW a le mérite d’avoir une durée de vie plus que correct avec les voix japonaise de vrais acteurs comme dans l'Anime.
Comptez environ une dizaine d’heures pour le scénario principal (hors les deux épisodes bonus). Nous avons également droit (et l’obligation) d’effectuer les épisodes partenaires (1 pour chaque personnage, environ une bonne trentaine), afin de recruter ces dites personnages pour nos futurs missions et les utiliser sans parcimonie pour des Doubles Assauts et faire d’E-NO-RMES dégâts sur les ennemis et c’est le pied géant !
Ah et au moins, OPPW a le mérite de ne pas faire gonfler bêtement la durée de vie en installant de mise-à-jour augmentant la limite de level de chaque personnage… Et puis la chasse aux pièces, c’est tellement plus cool.
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Créée
le 1 avr. 2015
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le 5 oct. 2013
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La première lignée des pirate warrior et une réussite les dessins sont beau, les combos sont respecté et les arcs sont cohérent ! Petit default les personne jouable ne sont pas assez nombreux
le 24 févr. 2015
Déçu par ce deuxième numéro je ne comprends pas l'intérêt de ce 2 ème numéro.
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le 14 déc. 2014
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