Pas moins, je peux pas sous-noter ça, voyons.
Paperboy, ça fait partie de ces jeux icônes de toute une génération, le genre de truc qu'on a TOUS joué à un moment ou à un autre. Ne niez pas! :)
Paperboy, c'est l'arcade des années 80 dans toute sa splendeur, le genre, avec Double Dragon et d'autres, qui m'aurait fait dépenser pas mal dans une de nos désormais regrettées salles d'arcade (j'y jouais sur NES, moi, c'est tout de suite moins gratifiant, mais pas moins plaisant ^^).
Paperboy, c'est la simplicité addictive même. Vous êtes un jeune livreur de journaux US à vélo, vous balancez vos journaux (si possible, en plein dans les boîtes) en évitant les chiens et autres obstacles en tout genre. C'est con de chez con, sans rien d'autre, mais on aurait pu y passer la journée, surtout entre potes, à vanner sur les performances.
Paperboy, c'est toute la représentation d'un style oublié qui ne ferait plus franchement recette aujourd'hui sur console, celui de l'arcade et de la simplicité.
Bref, Paperboy, c'est tout simplement le témoignage d'une époque, un jeu qui fait partie de ceux qui m'ont durablement marqué, et que je referais avec plaisir aujourd'hui, même sous les regards circonspects de gosses incultes élevés à Call of Duty qui n'ont pas connu cette sublime époque de la 2D et des manettes à seulement 2 boutons (sans compter la croix, Start et Select, of course).