Je vais t'entrainer jusqu'à ce que tu les démontes tous.
Pokémon bleue. Il y'a beaucoup de souvenirs autour de ce jeu. C'est toute une époque ce jeu.
Il n'était pas totalement innovant mais il a eu le mérite de créer une licence aussi puissante qu'imposante qui n'a cessé de croître au fil des ans. Pokémon, c'est 151 créatures à capturer et autant de dresseurs/champions à défoncer à coups de poképelle. Pokémon, c'est une histoire vécue par un enfant de 10 ans qui mêle tout de même ambitions personnelles, rivalité, recherche et conspiration au travers d'une histoire telle qu'un gamin de 10 ans la verrait (les seuls moments clairs étant les livres dans le laboratoire abandonné de cramois'ile et les déclarations de Giovanni).
Pokémon Bleue n'était pas très beau. Il n'était pas parfait et était même pourri de bugs. Mais il a eu le mérite de me faire voyager. Il a eu le mérite de créer un engouement exceptionnel pour moi envers un univers alors que je n'avais que 6 ans, un univers qui ne m'a jamais quitté et que j'affectionne toujours autant. Voilà ce que c'est Pokémon Bleue : le début d'une grande histoire, d'une passion qui ne m'a jamais lâchée et qui n'a jamais lâchée beaucoup d'autres personnes de mon époque, qu'ils y repensent nostalgique ou qu'ils continuent d'y jouer. Un monument du jeu vidéo, une base qui n'a fait que s'améliorer avec les années.