"Do not destroy vital testing apparatus." J'vais me gêner...
Portal est un jeu complètement foutrac ou rien n'a de sens.
En gros, vous vous réveillez un beau matin dans la peau d'une femme avec une combi orange dans une cellule toute blanche, toute propre et toute belle ou une voix robotique féminine qui fait pas peur vous réveille pour vous tester. Le premier test est fait pour bisounours, alors vous vous dites : "chouette ! un jeu de réflexion pas trop compliqué, je vais enfin pouvoir le finir !"
(Il est bon de noter que ces réflexions sont celles de l'auteure de cette critique qui, en plus d'être incapable d'écrire une phrase sans faute d'orthographe -désolée au passage- n'arriva pas non plus à finir le professeur Layton sans soluce.)
Mais Portal c'est légèrement moins gentillet que ça : entre les tourelles, le robot qui vous raconte sa vie et le gâteau au chocolat, vous vous retrouverez avec le cerveau à l'envers et l'envie folle d'en parler à quelqu'un. (Si cela vous arrive comme ça m'est arrivé, ne le faites pas : on vous traitera de malade.)
Bref, c'est un jeu bizarre, où il faut réfléchir et ou en faisant attention au annonce robotique, on peut bien se marrer.
Moi j'adhère.
Tiens, j'irais bien bouffer du gâteau au chocolat.