Ceci n'est pas une critique.
Il y a toujours deux ou trois œuvres, comme ça, qu'on considère au-dessus de tout.
Des œuvres dont on refuse d'accepter les tares, et dont les critiques négatives nous mettent en colère.
Des œuvres qu'on se refuse de critiquer, puisque l'on sait bien que tout ce qu'elles nous ont fait ressentir ne s'explique pas avec des mots, que tout ce qu'on pourra dire ne sera jamais à la hauteur.
Et puis, on a toujours ce sale pote, celui qui vient nous provoquer en nous mettant sous le nez quelques défauts des plus évidents.
On ne lui répond pas. Ou si, on lui répond. Pour lui dire que, de toute façon, il ne peut pas comprendre.
Skies of Arcadia, c'est ça.
J'aime tellement ce jeu que j'ai dû passer une cinquantaine d'heures, après l'avoir fini, à... me balader dans le ciel. Non mais, j'adore l'univers, et la musique de la « carte » me met dans un état second tellement elle me rappelle les plus belles heures que j'ai passées devant ma console, donc... Oh et puis, à quoi bon se justifier.
C'est un putain de chef-d’œuvre, c'est tout.