Putain de bordel de merde! je pensais pas trouver en ce south park : le bâton de la vérité, un des jeux les plus complet auquel j'ai joué.
Nan mais sérieusement, il est génial. Les nombreuses références à la série raviront les fans, le système de combat par contre fera douter un peu les aficionados de RPG, mais cela sera rapidement éclipsé par les attaques déjantées de ce jeux (Aviez-vous déjà rêvé de latter les couilles de votre adversaire? Dans ce jeu, on peut!)
Dés le début, on kiff ce jeu, en commençant par la création de son perso. Créer soit même son personnage de south park est un pur bonheur, bien qu'on peut reprocher que les choix pour la personnalisation de notre héros est un peu pauvre au début, on découvre par la suite de nombreux costumes, coupe de cheveux, maquillages etc... en avançant dans l'histoire, tous plus déjanter les uns que les autres pour customiser le look de notre enfant.
Pour ce qui est de l'histoire, aucun défauts, varier et complètement loufoque, c'est tout ce qu'on demande. Ce jeu est certes court pour un RPG (terminé en 15H), mais on ne s'ennuie pas. Passer de batailles contre des elfes, à celles contre des aliens puis contre des zombies nazis, l'esprit de south park est là, et on se marre ( en ayant tout de même un peu honte pour certains passages).
J'adore aussi les combats contres les boss et mini-boss, ou la réaction commune à tous est "-Putain, ils ont osé...".
Un autre point très important dans les RPG, c'est l'exploration et les quêtes annexes. Et bien ici, ils s'en sortent avec brio!
Explorer la ville de South Park, un vaisseau alien et le ... Canada (sérieusement, je m'en suis toujours pas remis du moment ou on arrive au Canada) et partir dans des quêtes chtarbées pour ces habitants et autres vous provoquera un orgasme vidéoludique.
Même la musique est bien, de l'épique à la sauce south park. Le petit thème chanté par Cartam quand on se balade en ville est mon préféré
En bref, l'humour noir et satirique de la série est omniprésent tout du long. Et pour ceux qui ne l'ont toujours pas, allez l'acheter, pauvres fous!