Spyro 2 : Gateway To Glimmer
Spyro 2, ça a un peu été mon Super Mario 64 à moi. Un jeu sur lequel j'ai passé mon enfance, autour duquel on faisait tourner la manette à tour de rôle parce qu'on arrivait pas à choper ces foutues boules. Et je me rappelle très bien du gros boss vert, Gulp, qui était tellement crétin que j'explosait de rire à chaque fois que je le voyais. Que dire aussi de Gros-Sous, un personnage que je détestais par dessus tout, à nous voler nos joyaux durement acquis en voulant terminer le jeu à 100%. Au final, je trouve encore aujourd'hui ces personnages ultra-charismatiques, ça débordait de bons sentiments (Gros-Sous nous rend tous nos joyaux si on fini le jeu à 100% par exemple) mais j'aimais tellement, c'était pour moi des trouvailles de génie à l'époque.
D'ailleurs, je n'ai jamais joué au premier épisode, je suis resté sur celui-là, j'aurais peut-être dû vu comment ce jeu m'avait enchanté à l'époque. N'ayant joué à Super Mario 64 que beaucoup plus tard, je dirais presque que je préfère ce Spyro 2 (à tort peut-être) qui pour moi a été ma première découverte d'un monde libre en 3D avec des portes nous menant vers des niveaux.
Ce jeu a sûrement pas mal de défauts, mais désolé, je n'arrive pas à les voir, la nostalgie sans doute. Graphismes, musiques, maniabilité, durée de vie, tout est pour moi parfait. Je ne sais pas si mes souvenirs reviendraient si je rejouais aujourd'hui, cette critique m'en donne bien envie tiens...