La critique de Jicey déjà présente sur le site dit déjà l'essentiel sur ce petit jeu de nos amis de Ketchapp, qui ont quand même le chic pour nous pondre des concepts de jeux sur portables d'une simplicité désarmante (qui tend d'ailleurs vers un caractère simpliste ...) mais finalement pas dénués d'une certaine subtilité, ou plutôt d'une certaine élégance.
Dans Stack, on doit faire atteindre à notre tour les plus hauts cieux. On y arrive jamais car, bien entendu, le jeu n'a pas de fin, mais on empile au fur et à mesure et en respectant un rythme précis des plaques mouvantes, qui vont devenir de plus en plus réduites au fur et à mesure de nos manques de synchronisation. Pour bien comprendre le concept et dans la pratique, si une plaque dépasse de la précédente, toute la superficie située non pas sur la plaque précédente mais dans le vide sera supprimée, rendant toutes les plaques suivantes plus petites. Jusqu'au "Game Over".
Comme j'ai pu le dire dans l'introduction, le concept est tout bête mais pas dénué d'une certaine élégance. Il y a même possibilité d’agrandir nos plaques en effectuant un combo de superpositions parfaites. Le jeu fait le travail niveau présentation, rendant l'expérience plutôt plaisante.
Sauf que, comme d'habitude dans ce type de jeu, même si c'est pas mal, on se rend compte au bout d'une vingtaine de tentatives qu'on fait toujours la même chose. C'était évident dès le début du jeu, mais c'est pas pour autant qu'on cherche pas à améliorer toujours son score.
Stack, c'est donc du jeu casual pur et dur : basique mais teinté d'une petite touche d'originalité dans son concept, propre et agréable l'espace de quelques parties, mais finalement creux et bien répétitif.
Un chipster pour l'apéro.