On retrouve avec plaisir ce cher Styx, 3 ans après Master of Shadows, dans un jeu qui n'a pas fondamentalement changé mais qui pourtant a été revu en profondeur.
Plus vertical, plus labyrinthique, et apportant aussi son lot de bonnes idées...
Les nains, c'est con, mais ça te localise à l'odeur et ça ne se surine pas... ce qui implique parfois d'autres façons de faire.
...il n'en demeure pas moins prisonnier des mêmes problèmes que son prédécesseur, à savoir une IA franchement coconne -enfin, très permissive dirons-nous, si tant est que l'on ne pousse pas les potards de difficulté aux sommets-, et surtout une histoire toujours pas intéressante, reposant intégralement sur les épaules de ce gobelin jureur et puant qu'est Styx.
Ah si, ils ont quand même rajouté le cliffhanger de fin le plus nul qui soit.
Ou alors il y a une autre fin à 100% de complétion ?
Dommage.