Paper Mario et la licence perdue
Difficile de se retrouver dans les licences Mario, tellement il existe de sous-catégorie à la série principal. Genre : "Mario Golf, Sonic & Luigi aux jeux Yoshilympique dans le centre de Bowser Island"
Mais dans notre cas, que caractérise la licence PAPER MARIO ? Son style graphique bien entendu qui est un rendu 2D ou les sprites (personnages, ennemis, éléments de décors...) sont considérés comme étant aussi épais qu'une feuille de papier et ou ils évoluent dans un décors 3D (donc d'épaisseur normale)
Le premier du genre à avoir été créé est
"Paper Mario" sur N64
puis
"Paper Mario : la Porte millénaire" (sous-entendu Paper Mario 2 sur Game Cube)
On peut aussi éventuellement citer
"Super Mario RPG: Legend of the Seven Stars" sur Super Nintendo (Japon & USA uniquement) mais Mario n'est pas Paperiser dans cet opus. Malgrés tous on peut le rattaché comme étant le premier de cette série de jeux RPG.
Bref, la série RPG monte en puissance avec les consoles pour arriver à son apogée sur GameCube.
C'est là que Nintendo décide de se tirer une rayon de Zapper dans la pantoufle en casualisant la licence.
On prend le jeu RPG, on fait un mix avec la série principale en revenant a un jeu de plateforme. On garde quand même un peu quelques éléments de RPG (mais très peu, faut rester casual, on enlève donc tous ce qui fait l'essence d'un RPG). On met 10 fois trop de dialogue en essayant d'être drôle (et c'est vraiment raté... blague pourri même pour un gamin).
Qu'est ce qu'on obtient ? Super Paper Mario. A ce stade là, le jeu mériterai un bon 2/10.
MAIS, il faut reconnaitre que Nintendo n'a pas totalement ravager son plombier. Et c'est la raison pour laquelle ils ont dut passer du RPG à la plateforme. L'élément clef de tous le jeu est de pouvoir passer en mode 3D ! Voilà l'unique point positif du jeu.
On se retrouve donc avec un premier niveau absolument génial. C'est beau, c'est frais, c'est comme ça qu'on aime commencer un jeu Mario... puis c'est tout ! L'intéret est très vite limiter car ultra répétitif. La difficulté est inexistante. On se retrouve donc à enchainer les niveaux ultra rapidement, passer les dialogues pour les plus impatient (j'ai fait l'effort de TOUS lire, et c'est chiant). On oublie aussi vite chaque niveau de jeu qu'un épisode des experts Reykjavik ! Je passerai sous silence le niveau Shmup afin de garder mon stock d'insulte pour une autre critique...
Je mets donc 6/10, et encore c'est une bonne note pour ce jeu !