Piou piou piou !

Et bien... Je suis plutôt satisfait !

Je suis très étonné, je m'attendais à une bouse infâme, laide et sans saveur, et finalement, bin ça va quoi !

La progression et l'interface se la joue "RPG", même si grosso-merdo, avec 28 niveaux, on arrivera quand même à coller un point de talent dans chaque case (il m'en manquait 2, par exemple, j'aurais pu les trouver dans l'environnement cela dit).

Le fait d'avoir un scénar pas trop linéaire est appréciable, et en plus, on peut ken de la survivante, et rien que pour ça, je lui met un point en plus :p ! (Oui, c'est beauf, oui, mais ça m'a surpris, alors j'étais content)

Le jeu essaie de se la jouer "FallOut" par moment (fouille de ruine, etc...), mais bon, ça n'est pas quelque chose de mauvais quand on aime ça (par contre j'en connais qui vont lui vomir dessus rien que sur ce point là xD ).
Je suis quand même surpris que 30 ans après les bombes et la menace robotique, il n'y ait pas plus de cadavre au sol.

Graphiquement le jeu est locké à 60° de FOV, n'hésitez pas à le foutre à 150° via les fichiers texte de configuration, car même à 120° j'ai trouvé que c'était encore pas assez. Mais à part ça le jeu est finalement plutôt joli, avec de beaux effets de tir à plasma et de flammes.

J'ai bien aimé le scénar, j'ai bien aimé la narration, c'était pas forcément extraordinaire non plus, mais la progression est tout de même sympathique, et le GunPlay est franchement correct (sans plus non plus).
Pour revenir sur la progression, on commence avec un vieux pistolet qui érafle à peine les petits droïdes autonomes, et n'égratigne même pas le Coltan des Terminators (comme dans Terminator : Renaissance si vous voulez), puis, suite à une accélération subite de l'aggressivité de Skynet, les choses s'accélèrent, et on obtien des armes enfins capable d'affronter les vilaines bestioles de métal.

Bref, voyage dans le temps, piou piou laseroplasma tout joli tout coloré, graphiquement sympa, GunPlay correct, un peu de RPG, vraiment, c'est pas mal du tout. Allez, un bon 7 parce que ce n'était ni trop long, ni trop court.