Première utilisation :
Non. Version Xbox One. J'avais juste pas envie de noter la nouvelle édition car le jeu est inchangé.
Mon titre est clairement la phrase culte du jeu et la plus dite, parce que chaque personnage que l'on croise s’arrête pour te regarder bizarrement et pour te dire la même réplique que le voisin.
Skyrim c'est le 5° jeu de The Elder Scrolls, sorti en novembre 2011 sur PC, Xbox 360 et PlayStation 3. Il a récemment été refait pour Xbox One et PlayStation 4.
Dans Skyrim on joue un personnage que l'on créé au début de l'aventure avec un choix de plusieurs races différentes et une liberté pour l'apparence. Au fil de jeu on apprend que ce fameux personnage qui vit en Bordeciel (un territoire glacial ancré dans un Moyen-Age plein de fantaisy et de créatures mystérieuses et sanguinaires) est en fait un enfant de dragon, soit un héros capable de tuer ces affreuses grosses bébêtes qui veulent toujours calciner des villages et, malheureusement tuer vos gentils amis qui sont justement de ces villages. Le héros est donc emporté par sa destiné faite de nombreuses péripéties assez répétitives au bout de 10 heures de jeu. Ce qui est assez dommage pour un jeu de rôle et d'action sur lequel on est censé rester plus de 100 heures.
Plusieurs libertés sont quand même bien, comme ce grand monde ouvert que l'on peut parcourir à pied, à dos de cheval, en calèche ou par "déplacement rapide". Notre personnage peut aussi rencontrer un grand nombre de personnes différentes qui nous donneront des missions plus ou moins importantes. Le fait de pouvoir stoker nos affaires dans des maisons que l'on achète est plutôt une bonne idée.
Ce jeu a aussi deux gros points négatifs comme ces bugs incessants qui peuvent nous ruiner une partie, voir deux pour mon cas. Et ça même dans l'édition de 2016. Oui, j'ai pleuré. Et les dessins et animations un peu bâclés, surtout au niveau des matières : neiges, bois et pierres.
Deuxième utilisation :
Après deux parties bugées jusqu'à la moelle et un désespoir aussi grand que l’Himalaya j'ai pris la décision de revendre Skyrim, ce que j'ai d'abord reçu avec un sentiment semblable à celui que l'on ressent après s'être fait amputer d'un membre douloureux depuis longtemps, en gros : soulagement et tristesse. Mais, au bout de quelques mois sans jeux vidéo digne de ce nom, j'ai déambulé dans Micromania à la recherche d'une oeuvre qui pourrait me combler, je suis passée de boîtes en boîtes sans trouver mon bonheur, à un moment, j'ai cru retrouver la perfection avec John Marston et ses flingues. Puis, après quelques jours de passion, la réalité du manque a refait surface et j'ai lâchement racheté Skyrim, délaissant totalement Red Dead et son désert pour me replonger avec bonheur dans la neige, le sang et l'acier. Grâce à mes expériences passées, j'ai reçu le cinquième volet de The Elder Scrolls comme j'aurait dû le faire avant. Je l'ai dorloté et je ne l'ai pas lâché pendant un mois. Grâce à mes anciennes parties je n'ai pas fait une seule erreur de débutant et le jeu n'en ai devenu que plus plaisant, les bugs se sont raréfiés au fur et à mesure que je donnais des coups de hache et j'ai remarqué peu de défauts dans ce jeu, me forçant à augmenter sa note d'un point.