Plongée envoûtante au cœur de Tamriel
Fan d'Oblivion et du riche univers de The Elders Scroll, je me suis naturellement précipité dès sa sortie sur le dernier-né de Bethesda. Je fus loin, très loin d'être déçu. Le cinquième Elders Scroll, sans oublier ses traditions et ses codes qui ont fait le succès de la série (liberté dans un immense environnement open-world, importance des quêtes annexes et notamment des guildes, durée de vie) a su apporter un vent de fraîcheur.
Découvrant peu à peu un monde enneigé et hostile, en proie aux guerres civiles, aux complots et machinations politiques, aux invasions de dragons, aux cultes païens de démons daedriques et j'en passe, le joueur se rend compte au fil des heures des possibilités qui s'offrent à lui. Les deux extensions, qui viennent allonger la durée de vue déjà énorme, sont également très stimulantes. Mais c'est surtout le système de mods sur PC qui permettra au joueur de customiser, de transformer et d'améliorer son expérience de jeu de manière quasi-infinie.