The Last of USD
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Par
le 4 août 2014
31 j'aime
4
Jeu de Naughty Dog, Neil Druckmann, Bruce Straley, Gustavo Santaolalla, Troy Baker, Ashley Johnson, Annie Wersching et Sony Interactive Entertainment (2014 • PlayStation 4)
Children of man
Joel ne va pas bien. Des années après que le monde ait mis genou à terre face à une mérule particulièrement tenace et que la chair de sa chair se soit fait descendre par les forces de l'ordre alors qu'elle n'était même pas noire. L’injustice a laissé un gout amer de sang et de plomb dans la bouche de notre protagoniste qui de bon père s’est mué en contrebandier amer.
Tess, son plan luc et associée le conduira à escorter Ellie, une ado immunisée aux girolles. Ils devront dès lors traverser les vestiges de l’Amériques avec l’espoir ténu de pouvoir produire un vaccin ARN dans les labos Pfizer d’un groupe d’illuminés.
Ce pèlerinage vers Salt Lake de Compostelle réveillera en Joel, l’espoir, l’humanité et l’attachement qui dormaient en lui depuis trop longtemps. Mais bon, comme le dit le vieux proverbe : Faut pas réveiller le daron qui dort, sous peine de te prendre une bonne grosse avoine des familles.
Tête de pleurote et coup de surin
Aucun jeu n’étant parfait, On peut pointer quelques défauts comme l’IA des compagnons dont le pathfinding (l’aptitude à trouver leur chemin autrement que comme des poulets sans tête) reste plus que perfectible. Mais permet malgré lui d’avoir de francs moments de rigolade dans un monde qui en manque cruellement.
On peut également souligner les influences claires du titre dont l’univers ne brille pas de par son originalité : « La route » pour son road trip anxiogène, « Children of men » pour le côté escorte du dernier espoir. Mais là ou TLOU brille vraiment c’est dans l’écriture de ses personnages, dans leurs dialogues, leurs rêves, leurs désillusions.
Passé ces peccadilles et les calembours foireux mycoses mi-raisin, je ne peux donc que célébrer le brio du jeu de Naughty Dog. Pour son histoire, sa prise en main, ses personnages inoubliables, sa musique qui en 3 notes me file la chair de poule, je l’aimais, je l’aime et je l’aimerai.
Dématérialisé - Ps plus
Joué en 2013-2020
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Créée
le 6 mai 2021
Critique lue 85 fois
1 j'aime
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