Et voila, après une vingtaine de chapitres plein de trahisons, de violences urbaines, de pillages de magasins, de musique funky, d'agression primaires, de vandalisme gratuit et de graffitis illégaux, le méchant perd et l'amour triomphe.
Mais bon, c'était vraiment vingt putains de chapitres. Ambiance incroyable, musique terrible et pesante, combats pas si bordéliques qu'ils en ont l'air, The Warriors sacrifie le coté ouvert des GTA pour proposer un univers plus cohérent, plus sombre et plus violent.
Rafraichissant !