THRESHOLD, c'est la promesse d'une fable dérangeante sur le travail, la vie, la mort, les choix et les non-choix. Une expérience volontairement minimale – jusque dans son choix visuel ancré dans une époque révolue – tout en étant bien plus profonde qu'il n'y paraît. Croquez ce Air Can, vous avez besoin de reprendre votre souffle avant de remonter à la surface, où votre quart démarre.
Travail, famine, dentiste.
THRESHOLD est loin d'être un jeu répétitif. Peu à peu, vous grappillez des bouts d'info, ramassez un objet, trouvez une clé, un puissant sifflet, agacez ce pauvre Mo qui ne semble finalement pas si innocent. THRESHOLD est au contraire une fable sur le travail, la société, la consommation. Ces wagons de train dont dépend la ville, vous découvrez assez rapidement qu'ils ne contiennent pas vraiment du blé. Le système dans lequel vous êtes plongé fonctionne avec de multiples rouages et vous êtes l'un d'eux. Vous voulez continuer à faire avancer cette machine discutable, ou y glisser un grain de sable qui peut avoir un effet domino ? Cette question vous appartient et à chaque moment de THRESHOLD, elle trotte dans un coin de votre tête. Jusqu'à ce que tout bascule.
Test complet sur Gamatomic