Star Wars Outlaws par MrFumble

Graphiquement c'est joli, Kay et Nix sont sympas, l'immersion est bonne, le système de progression semble bon mais ...

Il y a 3 éléments qui ont ruiné mon expérience et m'ont fait abandonner :

1 - les bugs et les plantages : les plantages du jeu dont certains forcent au reboot du PC, et c'est fréquent, y compris sur un config récente. Super pénible. C'est suite à un énième plantage que j'ai laché et désinstallé, si j'avais pu j'aurai demandé un remboursement.

2 - les phases d'infiltration forcée : c'est relou, relou et ultra relou. D'une part elles sont parfois super longues, avec certes des points de sauvegarde et en cas d'échec tu ne refais pas tout, mais si tu te retrouves bloqué sur un passage et que même en t'acharnant ça ne passe pas, ta seule solution pour revenir à l'open world c'est de revenir sur une ancienne sauvegarde et perdre jusqu'à plusieurs heures de jeu. Et niveau blocage cela peut arriver facilement sur l'infiltration, avec des IA particulièrement volatiles qui ne te détectent pas quand tu neutralises un PNJ qui est littéralement à 1m d'elles, mais d'autres, sensées être les mêmes qui te détectent de l'autre coté de la pièce alors que tu n'es même pas dans leur champ de vision. Ce genre de séquences d'infiltration forcée ou la moindre détection c'est game over (tu ne peux même pas tenter de te battre) ce n'est pas compatible avec un openworld, surtout avec une telle fréquence, ou alors avec plus de soin dans le codage de la stabilité de l'infiltration.

3 - l'escalade dans l'open world : Le personnage est capable de sauts et d'acrobaties de malade, mais est par contre totalement incapable d'escalader un rocher dans l'open world, obligeant à des détours parfois énormes.

Bref il y a un effort que je salue dans l'évolution par rapport aux openworlds classiques Ubisoft, que pour ma part j'aime assez, mais cette vision de l'infiltration, c'est un grand non. Donc par exemple je vais attendre lors de la sortie de Shadow pour voir si cela dans ce sens, et si c'est le cas, c'est non.