Construit comme un 'Walking simulator' (histoire distillée à coups de note, cartes faussement ouvertes et parcours linéaires, gameplay relativement minimaliste), Valley se distingue par les sensations qu'il provoque lors déplacements du personnage: avec sa vitesse de course très rapide et ses super sauts, on est à mi-chemin entre un rêve et... Hulk simulator (enfin, sans le côté destruction).
S'il évite le pire travers des 'walking simulator', Valley n'oublie pas d'être une usine à fonds d'écran (moins qu'Ethan Carter quand même) et donc à dépaysement. Et ce, à tel point, que malgré mon envie de lui coller un 7 de sympathie, je lui colle un 8 pour ses passages grisants et oniriques.