1 pour le visuel propre et lisible, à défaut d'être inspiré.
1 pour le son des pétoires.
A part ça, je n'avais pas autant détesté une demi-heure de jeu depuis Counter Strike, ce qui révèle clairement que je ne suis pas la cible pour ce machin. Entre le gameplay mou du gland où on passe plus de temps à regarder le timer avant le prochain round qu'à tirer sur des gens et le time-to-kill ridicule, j'avais envie de me tirer une balle avant la fin du match interminable.
Mais les ennuis commencent réellement quand vous voulez désinstaller le jeu. Valorant s'installe avec son système anti-triche, Vanguard, qui démarre en même temps que Windows et se loge dans votre systray. Si vous le fermez, vous devrez redémarrer l'ordinateur avant de lancer le jeu car vous ne pouvez pas juste lancer Vanguard.
Le client Riot ne propose aucune option pour désinstaller le jeu. Pour ce faire, vous devez d'abord désinstaller Vanguard, puis Valorant, via l'outil de gestion d'applications de Windows. Dans mon cas, après m'être débarrassé de Vanguard, je ne pouvais toujours pas supprimer Valorant, si bien que j'ai dû utiliser les fonctions de scan de Revo uninstaller pour retirer tous ses fichiers et entrées dans la base de registre. Je suis étonné que ce machin ne soit pas encore flaggé comme malware par mon OS.