2013 Albums studio

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18/01/2013 (PL)
21/01/2003 (EU)
05/02/2013 (US)

Après la trilogie "Reality Dream", qui aura permis au groupe de définir leur identité, puis le plus punchy "Anno Domini High Definition", le groupe semble se calmer un peu et explore notamment des passages plus atmosphériques, mais offre également des titres rock plus directs. Peut-être un peu plus hétérogène, il n'en reste pas moins que la globalité des pistes frisent l'excellence !

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22/01/2013 (US)
25/01/2013 (EU)

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28/01/2013

Oceans of Slumber avant l'arrivée de Cammie Gilbert, c'est quand même sacrément différent ! J'admets avoir eu un peu de mal à arriver au bout de la galette. On sent les influences prog (qui se dévoilent surtout dans la seconde moitié j'ai l'impression), mais aussi du death, du black… et le tout semble manquer un peu de mélodie à mon goût. C'est une impression à chaud mais malheureusement je n'ai pas beaucoup envie d'y retourner.

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20/02/2013
22/02/2013

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22/02/2013 (FI, DE, CH, AU + digital WW)
25/02/2013 (EU)

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25/02/2013

J'ai découvert le travail de Steven Wilson en solo avec cet album, et pour être honnête, il m'a fallu du temps pour m'en imprégner. De prime abord, seuls quelques titres ont touché ma corde sensible, parmi lesquels le titre éponyme mais également "Drive home", tous deux magnifiquement mélancoliques (et accompagnés de superbes clips vidéos). Pour le reste, les influences 70's un peu psychédéliques ont eu plus de mal à m'atteindre, mais avec le temps, j'ai su m'approprier un peu mieux l'album (et par exemple apprécier à son tour le titre "The watchmaker"). Bien entendu, la qualité est au rendez-vous à ne pas en douter, mais c'est réellement avec l'album suivant que SW aura pleinement su m'atteindre. "The Raven […]" reste néanmoins une belle collection de contes sombres et fantastiques menée de la main de maître de Mr Wilson.

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18/03/2013

Celui qui s'est d'abord fait connaître comme réalisateur, notamment de clips vidéos pour des artistes français comme internationaux (Nolwenn Leroy, Katie Perry, Lana del Rey, Taylor Swift, Drake…) s'essaye à la composition avec un premier album particulièrement réussi. Il n'en est pas réellement à son coup d'essai puisqu'il avait déjà sorti un EP en 2011. Il poursuit donc ici sa carrière musicale avec un album concept dans un univers musical assez unique, mêlant pop, musique orchestrale et percussions presque tribales mais empreintes d'une certaine modernité. Le tout est à la fois puissant et émouvant, et rencontrera un certain succès mérité.

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22/03/2013 (EU)

Cet album correspond à la période où j'ai commencé à m'intéresser à Serenity. Le groupe ayant par le passé collaboré avec Charlotte Wessels (à l'époque chanteuse de Delain) ou encore Ailyn (à l'époque dans Sirenia) recrutait dans ses rangs la française Clémentine Delauney, que j'avais à l'époque connu pour avoir fait un passage éclair chez Whyzdom. Les étoiles s'alignaient donc plutôt bien et j'ai apprécié découvrir cet album. Clémentine quittera le groupe à l'issue de cet album et les suivants m'emballeront moins, n'étant pas spécialement porté sur le power metal. Fin de l'alignement des astres ; doucement mais irrémédiablement, je m'éloigne de l'univers du groupe, qui m'aura donc laissé pour héritage cet album, qui reste probablement le plus intéressant à mes yeux. Est-ce pour ses qualité intrinsèques ou juste une passade, je ne saurais trop dire, n'étant pas suffisamment familiarisé avec la discographie du groupe.

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22/03/2013

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29/03/2013
30/03/2013

Tobias Sammet avait beau clamer haut et fort à l'époque que c'était son meilleur album d'Avantasia, je crois que je lui préfère encore et toujours "The Scarecrow". Mais Avantasia fait partie de ces projets/groupes qui me font aimer (à petite dose) le power metal, et cet album me le confirme. Pas un indispensable 2013 donc, mais un album tout de même sympa.

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10/04/2013
16/04/2013 (US)

Avec ce second album, Papa et ses goules poursuivent leur messe noire, invitant au passage quelques chœurs à se joindre à leur grande célébration pour compléter leur son unique, mêlant pop, heavy metal et satanisme décalé. Mais ils commencent aussi à montrer leurs ambitions, lorgnant parfois vers des influences prog (Guleh/Zombie Queen) que l'on retrouvera occasionnellement dans le reste de leur carrière.

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17/04/2013 (JP)
19/04/2013 (EU)
22/04/2013 (UK)
30/04/2013 (US)

J'ai découvert le groupe sur le tard, étant resté assez hermétique à leur univers pendant un temps avant d'avoir pu trouver la brèche pour réussir à m'y plonger (en 2022 avec l'album "Under The Red Cloud" en particulier). Je me suis ainsi vu remonter le temps à travers leur discographie et surprise, je découvre là un album qui paraît plus brutal, mais qui n'en reste pas moins très intéressant. A creuser.

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A la base défi lancé au groupe sur la radio belge Q-Music, consistant à enregistrer et diffuser chaque vendredi une reprise issue du répertoire grand public, le résultat aura été assez concluant pour en faire un album l'année suivante. Un album qui cependant passera un peu sous les radars (il faut dire qu'il n'a pas été très distribué) et restera le grand oublié de la discographie du groupe, même de ma part, je dois bien l'admettre. En soit, l'album n'est pourtant vraiment pas mauvais, certains reprises sont même de bonnes surprises, même si j'aurais aimé qu'ils diversifient un peu le répertoire (beaucoup sont des titres faisant l'actualité à l'époque). Au final, l'album reste malgré tout assez anecdotique dans la carrière du groupe. Dommage par ailleurs que certaines de leurs reprises, parmi mes préférées qui ont été diffusées à la radio, n'aient pas pu être intégrées dans l'album pour des raisons de droits ("Skyfall", "Somebody that I used to know", "Little lion man"...).

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26/04/2013 (DE)
29/04/2013 (EU)
30/04/2013 (US)

Un groupe auquel j'essaye de me mettre depuis assez récemment (à l'heure où j'écris ces lignes). Je dois admettre que je ne suis pas le plus grand fan du chant hardcore, mais je trouve cet album plutôt intéressant dans l'ensemble et j'aime bien le côté prog assez prononcé !

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17/05/2013 (EU)
21/05/2013 (US)

Musicalement, je n'ai pas été très convaincu, et déçu de la participation de Sharon den Adel qui se résume à un tout petit passage dans une chanson ; à ce stade, on ne peut même pas parler de duo. La principale guest est donc Elize Ryd (Amaranthe), dont je ne suis pas particulièrement fan et dont la voix ne me semble pas avoir beaucoup de personnalité.

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20/05/2013

J'ai entendu parler de Leprous pour la première fois avec leur album "Malina", qui ne m'avait alors pas plus emballé que ça. C'est avec "Pitfalls" que le coup de cœur est venu, confirmé ensuite avec "Aphelion". La suite logique a donc été de prendre leur discographie a rebours et que de surprises lors de ce voyage ! A commencer par cet album où l'on découvre des influences variées et parfois assez inattendues, allant du black metal ("Contaminate me" avec Ihsahn, avec qui j'ai appris qu'ils étaient étroitement liés) à un style pouvant rappeler parfois Devin Townsend ("Coal"), bien que l'on retrouve aussi des titres faisant écho à leur style actuel ("The cloak", premier coup de cœur de l'album) mais aussi au style plus technique de "Malina". Un album définitivement intéressant, à creuser encore pour moi.

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27/05/2013

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31/05/2013

L'ex-groupe de Morten Veland fait preuve d'un renouvellement surprenant. "Darkest White" est efficace, incisif et envoie bien. Derrière le micro, Mariangela Demurtas s'affirme davantage que dans le précédent album. Une autre bonne surprise en 2013.

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24/06/2013

Cet album semble marquer un tournant dans la carrière du groupe, mettant un peu plus de côté leurs influences prog et introduisant un style plus direct et grandiloquent, traçant tout droit le chemin vers son successeur "Unsung Prophets and Dead Messiahs", tout en restant fidèles à leurs racines orientales.

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28/06/2013 (EU)
01/07/2013 (UK)
09/07/2013 (US)

Après s'être quelque peu perdu avec le peu inspiré "Enigma of Life", Sirenia nous revient avec un album aux sonorités metal et folkloriques renouvelées, alors que leur style était devenu plus pop depuis quelques albums. Un assez bon cru pour le groupe de Morten Veland, avec un petit bémol sur le mixage cependant.

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29/07/2013 (EU)
06/08/2013 (US)

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23/08/2013 (EU)
26/08/2013 (UK)
03/09/2013 (US)

Floor Jansen, encore elle, est décidément assez active en 2013. Pour son projet personnel ReVamp, elle sort ici son second opus, dans la lignée du précédent mais peut-être plus incisif, plus symphonique aussi, avec des réminiscences de son ancien groupe After Forever, et s'offre par ailleurs les services d'un guest de marque en la personne de Devin Townsend sur le titre "Neurasthenia", qui est probablement mon préféré de l'album.

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28/08/2013
30/08/2013 (AT, BR, FI, DE, PT, ES, CH)
02/09/2013 (NO, PL, CZ)
03/09/2013 (US, CA)
04/09/2013 (BE, DK, NL, SE, UK)

Une autre sortie que j'attendais avec impatience et une très bonne surprise de la part de Tarja qui signe ici son meilleur album solo à date. "Colours In The Dark" nous fait voyager loin et expérimente des horizons progressifs intéressants. Un album très inspiré, varié et… coloré !

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02/09/2013

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23/09/2013
24/09/2013

Bon, c'est du Dream Theater, c'est prog, c'est un peu complexe (encore que je pense qu'ils ont fait bien plus complexe), et c'est donc pas très facilement accessible de prime abord. J'ai un peu eu du mal au départ mais avec le recul, je ne le trouve pas si mauvais, pour moi il reste plutôt dans le haut du panier de l'ère Mangini.

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Anneke poursuit sur sa lancée purement pop-rock entamée avec son précédent opus "Everything is Changing", et propose à nouveau un album diablement efficace, sans tergiversations atmosphériques telles que l'on a pu connaître lors de ses débuts en solo sous le pseudo Agua de Annique. Le propos se veut simple et efficace et c'est plutôt réussi, même si on pourra regretter un petit manque de subtilité. A ce jeu là, c'est clairement le titre "Mental jungle" qui sort du lot. Véritable coup de cœur de l'album (son seul défaut étant d'être trop court à mon goût), il apporte un peu de couleur et d'originalité avec son ambiance orientalisante et la participation du chanteur turc Hayko Cepkin.

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08/10/2013

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Aussi curieux que cela puisse paraître, cet album est l'un des premiers du groupe qu'il m'a été amené d'écouter (avec le live acoustique "Sanctitude" et l'album "Viva Emptiness", je ne sais plus exactement dans quel ordre). C'est donc bien avant d'avoir pu jeter une oreille sur "Dead End Kings" (sur lequel cet album est pourtant basé pour en tirer une version plus ambiante et acoustique), que je l'ai découvert. Et à l'époque, j'avais été plutôt charmé. Depuis, il garde donc une petite place spéciale pour moi !

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21/10/2013

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25/10/2013

Une sortie un peu particulière pour The Gathering, qui décide ici, un an après "Disclosure", de réarranger – on pourrait même dire déconstruire et reconstruire – certains titres de ce dernier et de les mélanger avec quelques inédits et une reprise. Très clairement, le groupe repousse ici encore un cran plus loin l'aspect atmosphérique de leur musique ; le rock s'évapore au profit d'un trip-hop éthéré et expérimental. Notamment, les réarrangements des anciens morceaux jouent plutôt sur les répétitions d'un élément du titre de base, un motif, un couplet, un refrain, pour construire autour une toute nouvelle composition planante, avec des accents parfois électroniques, parfois tribaux ("Sleep paralysis", basé sur "Paralized", n'aurait presque pas dénoté sur "Mandilyon"), à tel point que certaines en deviennent presque méconnaissables ("Sleep paralysis" justement mais aussi "Bärenfels", basée sur "Heroes for ghosts"). Quant aux autres titres, s'ils montrent une structure plus classique, ils s'insèrent toutefois bien dans l'ensemble et éveillent l'intérêt. La reprise "Areas" (de New Musik), singulièrement mystérieuse, fait son effet, tout comme "Afterwords", qui invite au chant Bart Smits, ancien vocaliste du groupe. Ainsi, si on pourra regretter l'absence d'un vrai album original mettant en avant Silje, on ne boude pas son plaisir à l'écoute de ce disque, loin d'être un simple album de remixes de bas étage.