2015: journal de bord

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Toujours cette voix de dingue (mais genre vraiment de dingue... dingue je vous dis!) posée sur une folk résolument moderne. Asaf Avidan n'invente rien mais c'est beau, c'est fragile et c'est accessible.

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Voir ma chronique vidéo (https://youtu.be/-4qTHkKv_h8) ou la transcription écrite.

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Mark Ronson est un producteur de talent à n'en pas douter. Et Uptown Funk fait partit des ces rares tubes à la qualité indéniable, capable de faire danser le plus coincé qui soit. Problème: on s’ennuie ferme sur le reste du disque. Ok, c'est funky, bien produit et il y a Stevie, mais rien ne m'est resté en tête.

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Voir ma chronique vidéo (https://youtu.be/Pqez4A7A8pE) ou la transcription écrite.

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Malgré tout le respect que je lui porte, j'ai l'impression d'un Etienne de Crécy s'embourbant dans une french touch surannée, très nineties. Alors c'est pas mauvais, non, mais juste à la ramasse.

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Dans sa globalité l'album est puissant, les prods excellentes et Joey a un excellent flow. Après, le tout est un peu trop long et ne m'a pas captivé plus que ça. Question de goût sûrement.

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Avec tout le bien que j'en avais entendu, je m'attendais à mieux... Ce n'est évidemment pas mauvais: c'est du post-punk bien crade, à la limite du bruitisme à certains moments. C'est cohérent et bien fait, pas de soucis là-dessus. Mais voilà là l'exemple type du disque estampillé Inrocks/Télérama où l'on se masturbe sur du faussement nouveau, sous prétexte que c'est "si peu conventionnel tu vois", et parce que c'est bien évidemment hors de portée du grand public. Ça flatte l'ego.

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Voir ma chronique vidéo (https://youtu.be/eV_FoUfKfaI) ou la transcription écrite.

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Virage 100% français pour Baden Baden, plutôt réussi. C'est de la bonne pop, avec sa dose de morceaux entêtants (petite mention pour le single J'ai plongé dans le bruit), bien qu'un peu précieux par moment.

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Sans être un grand connaisseur, j'ai vraiment apprécier ce nouvel album. C'est puissant et épique comme toujours. Et si le tout est réellement plaisant, de bonnes grosses mentions TB pour Twilight of the Gods, At The Edge of Time, The Throne et Miracle Machine.

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Énorme coup de coeur à la première écoute, je me suis légèrement raisonné après. Ce premier album éponyme reste malgré tout très bon: cette musique synthétique froide mélangée aux rythmes traditionnels cubains et africains donne une vraie belle pop portée par les voix fantomatiques des deux soeurs. Impressionnant, malgré quelques petites baisses de régime.

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Il faudra que je réécoute parce que c'était un peu difficile à ingérer.

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Certes une compilation d'EP, mais cette Trilogy est juste hallucinante. Un peu longue du coup, mais quelle puissance! Le rythme est effréné et une fois écouté, difficile de s'en passer.

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On tourne en rond bordel, au point que le scorpion se mord la queue (oui en vrai c'est pas possible m'enfin vous voyez l'idée).

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Voir ma chronique vidéo (https://youtu.be/QQQ-Fdfc2T0)

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Déception. Massive. Je ne m'explique pas cet album de rap sans verve aux productions globalement mauvaises. Brodinski avait pourtant l'art de faire des morceaux aux influences urbaines certes, mais qui possédait un je-ne-sais-quoi qui faisait tout. A voir pour la suite.

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Madonna qui se débat comme elle peut pour rester sur le trône de la pop qu'on lui a (peut-être à tord) attribué. Il est temps qu'un changement de cap se fasse, sous peine de sombrer définitivement dans les limbes du mainstream le plus dégueulasse qui soit.

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Voir ma chronique vidéo (https://youtu.be/_mIjDYnJ_is)

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Voir ma chronique vidéo (https://youtu.be/oTldIgqBpZ4)