2016 : Chronologie documentaires

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[9 Janvier 2016]

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Les reprises des morceaux de Bowie sont assez inutiles (sauf celle de Chilly Gonzales) et cassent le rythme du doc.

[14 Janvier 2016]

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Ça rendrait presque fier d’avoir vu "Troll 2".

[15 Janvier 2016]

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[21 Janvier 2016]

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Dommage que les intervenants nous survendent autant les épisodes (la plupart sont d’anciens acteurs, donc ça peut en même temps se comprendre), le mec qui ne connait pas ou très peu la saga risque de tomber de haut si il s’y colle ensuite, moi qui les ai vu en intégralité l’an passé je suis resté assez effaré de certains arguments, comme si ils parlaient de la trilogie du Seigneur des Anneaux, faut se calmer (après aux USA …). Les défauts sont quand même abordés mais uniquement cinq petites minutes vers la fin, en tout cas l’aspect autour du merchandising, de la censure ou de l’impact culturel est intéressant et assez instructif, et puis Tom Savini en maitre de cérémonie c’est toujours cool.
Pas forcément indispensable mais si vous avez de l’affection pour les Vendredi 13 et 1h30 à tuer allez y.

[23 Janvier 2016]

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[23 Janvier 2016]

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Documentaire d’une grande richesse consacré à l’intégralité de la saga Freddy : sources vidéos/photos/archives, anecdotes de tournage et de production, présence des anciens acteurs, réalisateurs (dont Wes Craven) ou autres personnes ayant participé de près ou de loin à l’univers (manquent tout de même Johnny Depp et Patricia Arquette à l’appel), conception des FX, réceptions critiques, retombées commerciales et culturelles, etc … le tout dans un ordre clair et chronologique.
Ça parait exagérément long sur le papier (4h) mais c’est assez passionnant pour ne pas voir le temps passer, si vous êtes un fan ou un simple sympathisant de l’ami Krueger ce doc est à voir impérativement !

[25 Janvier 2016]

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Le documentaire qui dégoute du métier de réalisateur, enfin surtout quand on est dépendant des grosses prods hollywoodiennes je-m'en-foutistes, c'est passionnant de voir ce bordel qui s'accumule et comment un créateur perd des mains son script petit à petit. Et puis pas cool Baboulinet, lui il s'en battait les meules de "Babylon AD", le respect s'était fait la malle ... Après avec du recul c'est un peu la faute de tout le monde (comme dirait René Malleville), où personne ne maitrise plus rien et dérive en roue libre selon sa propre vision, comme une impasse, Kassovitz a du choper des cheveux blancs en tout cas.

[11 Février 2016]

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[11 Février 2016]

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[11 Mars 2016]

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Passionnante vision du cinéma, de son rôle et de ses mouvements dans son histoire, avec également des parallèles vis à vis de la télévision et des modes de communication.

[12 Mars 2016]

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[14 Mars 2016]

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[19 Mars 2016]

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Documentaire visionnaire sur le non impact des images des conflits d’orient sur l’occident, des contre-vérités dissimulées par les choix éditoriaux, Godard rétablit tout cela par ce qu’il a capté lui même en Palestine quelques mois avant Septembre noir puis de son retour en France, en ressort un propos aiguisé, acerbe, didactique et dramatique.
Extrêmement poignant.

[29 Mars 2016]

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[4 Avril 2016]

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Doc passionnant sur la création du New York Cosmos dans les années 70, époque où les américains se sont pris curieusement d’amour pour ce drôle de sport qu’est le soccer, l’arrivée en grande pompe de Pelé à coup de millions, les frasques de Chinaglia, la bonne mine de Beckenbauer, des mecs quasi amateurs se retrouvant à jouer avec des stars mondiales, les vedettes de cinéma et autres Mick Jagger ou Mohammed Ali venant faire coucou dans les vestiaires, la folie dans les stades … Une histoire incroyable remplie d’anecdotes savoureuses mettant en lumière un petit bout d’histoire du football tout en relativisant l’intérêt du business dans le sport par rapport à sa culture nationale, comprendre comment ce soccer en plein effervescence aux States a pu se ramasser du jour au lendemain dans les années 80. On apprend beaucoup de choses en plus de prendre un plaisir monstre, le documentaire se dévore d’une bouchée, en plus d’une bande son ultra plaisante.
À VOIR !

[26 Avril 2016]

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Documentaire poignant et tout à fait passionnant sur un homme qui décida pour défendre leur cause de vivre au milieu de grizzlys en plein coeur de l’Alaska, où son obnubilation a entrainé sa mort tué par ces mêmes animaux majestueux qu’il protégeait. Herzog va y apposer un regard à la fois bienveillant et critique, soutenu également par les témoignages de ses amis mais aussi de personnes plus partagé quant à ses idéaux, ce qui est intéressant c’est qu’on nous laisse une place pour être juge, ce type parait autant illuminé que héroïque mais il y a un message à travers tout ça, c’est que la nature aussi belle et harmonieuse qu’elle puisse paraitre est aussi et surtout redoutable et chaotique. Tout ce qui tourne autour des circonstances de sa mort ainsi que celle de son amie également présente sur les lieux est absolument fascinant en terme de puissance émotionnelle, on ne nous montre rien, on ne nous fait rien écouter, mais on ose imaginer l’horreur, et ça Herzog le capte d’une manière incroyable, rien que l’explication pré-mortem du médecin légiste (qui lui a entendu les bandes) fait froid dans le dos, comme également le moment où Herzog lui même écoute péniblement une partie de la tuerie, terriblement scotchant. Après il y a peut être un peu de pleurnicherie et d’indécence vers la fin (typiquement américain dans le genre Michael Moore) mais globalement le documentaire frappe fort et juste dans ce qu’il veut démontrer, c’est que la nature appartient à tout le monde et à personne, que le combat pour préserver ce qu’elle a de plus pure ne peut que se concrétiser qu’à un prix qu’il faut savoir anticiper. La nature humaine et animale sont tout autant liées qu’imprévisibles, c’est ça qui fait qu’elle reste à la fois magnifique et sauvage, qu’il ne faut pas croire à l’Eden, si ce n’est dans les instants où la caméra laisse filer des images sur le vif comme cette famille de renards qui quitte son terrier pour venir se laisser caresser, et dont l’aventurier retrouvera le corps déchiqueté d’un d’entre eux entre les rochers, sinistre présage ... "le dénominateur naturel prédominant est le chaos".

[2 Mai 2016]

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J’aime bien le gars, à la fois un vieil ado et un perfectionniste, on voit sur le tournage que c’est un passionné qui va au bout de ses idées, quitte à aller dans le mur, un vrai créateur. On sent aussi chez lui une sensibilité proche de la névrose, un type rempli de contradictions, quand il dit qu’il aime le clivage vis à vis de ses films j’ai du mal à y croire, on comprend que ça le travaille, et c’est d’ailleurs plutôt normal (d’où l’intimité équivoque du documentaire). Même si il soutient l’inverse on dirait qu’il craint que le public ne suive plus l’après "Drive", il fait son truc de son côté en apparence mais il doute de lui et de son succès un fois les moniteurs éteints, il n’y a que la caméra de sa femme pour capter la chose et c’est ça qui est intéressant pour comprendre la complexité du personnage. Après je trouve certains moments de vie un peu mis en scène, surtout à la fin.

[21 Mai 2016]

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[1 Juin 2016]

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[1 Septembre 2016]

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Grosse propagande antiraciste made in service public, il suffit de jeter un oeil sur les intervenants, Hollande himself, Cohn-Bendit, Rokhaya Diallo, des représentant anti-islamophobie, ils ont même redonné la parole à Cantona sur le cas Benzema, et aucune mesure ensuite (ou très peu), proprement hallucinant. En gros si il y a eu des problèmes en équipe de France en 2010 ça ne venait pas des individus mais de la société, qu'on ne peut pas en vouloir à Benzema de ne pas chanter la marseillaise car Platini ne la chantait pas (ce qui est absurde compte tenu du fait que lui ne la chantait pas car il n'aimait pas ses paroles violentes, ce qui est historiquement faux, il était juste ignorant, de plus à l'époque il n'y avait pas les problèmes identitaires d'aujourd'hui), que les algériens qui sifflent l'hymne français en 2001 au final c'était pas si grave car les pauvres ils étaient opprimés par la classe politique de droite, que les quotas de double nationalité de la LFP c'était du racisme honteux (alors que sportivement c'est un réel problème qui a juste été maladroitement abordé), que Benzema qui dit "mon pays c'est l'Algérie" et que Omar Sy balance quelques minutes plus tard "pourquoi Benzema devrait plus prouver qu'il est français que Griezmann ?", etc etc ... Mais par contre pas un mot sur le traitement de Deschamps par ses mêmes personnes qui l'ont conspués après sa liste pour le CDM2016 en disant qu'elle ne représentait pas la mixité ou encore Giroud qui se faisait insulter parce qu'il avait "volé" la place de 9 à Benzema, le documentaire est clairement ciblé dans cette logique politique gauchiste de soumission à l'idéologie anti-raciste, qui se veut morale, mais ça manque beaucoup trop de mesure et de pertinence.
Mais ça c'est clairement ce que les gens veulent entendre, et c'est d'ailleurs pour ça que tout le monde a aimé ce doc, alors que c'est tout simplement une interprétation des problèmes sociaux actuels en stigmatisant des répercussions.

[5 Septembre 2016]

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À la fois du gros foutage de gueule et du pur génie, un doc à l’image du groupe.
Vivement la IVe ère du Stup …

(Le passage coupé à Top of the Pops est juste jouissif : https://youtu.be/3ciZ9oYnEt0)

[14 Octobre 2016]

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[17 Octobre 2016]

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Un torrent d’absurdités, mais je crois que ma préféré reste le fait soi-disant établi (en tout cas en voulant généraliser la chose) qu’une femme a davantage de prédispositions à l’humanisme si on lui donne de hautes responsabilités (en ne se tenant que sur un seul et unique exemple en Islande), si c’est pas de la propagande pro-Clinton je ne m’y connais pas …
En plus c’est long, chiant, bricolé (on veut quand même nous faire croire qu’un enfant français préfère l’eau au coca, mdr), moralisateur, faussement cynique (je me moque de mes compatriotes et plante mon drapeau de conquérant) et tellement donneur de leçon putain c’est un comble, en fait c’est un peu le manuel "L’Europe pour les nuls" destiné uniquement aux américains (avec tous les clichés qui y sont rattachés évidemment).
Bref nul à chier.

[23 Octobre 2016]

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[11 Novembre 2016]

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[21 Novembre 2016]

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Ma critique : http://www.senscritique.com/film/Messes_noires_et_Snuff_movies_en_France/critique/46656066

[23 Novembre 2016]

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[5 Décembre 2016]

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[16 Décembre 2016]

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[16 Décembre 2016]