2017 :. Cinéthèque

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Vu pour la première fois le 02 janvier au cinéma en VOSTFR.
Si j'ai plus ou moins jeté tous les autres films de ce réalisateur, celui-ci m'a en revanche collé à mon siège. Tout y est parfaitement maîtrisé, de l'exposition à l'épilogue et c'est magnifiquement beau.

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Vu pour la première fois le 11 janvier en VOSTFR
Épisode de Noël 2016, il est bourré de références pop-cultures et permet une bonne transition avec la fin de la saison précédente.
On y découvre la version Capaldi du Docteur solo, écrasé par la perte de celle qui l'accompagnait, heureusement surveillé par ceux qui savent qu'un Docteur seul est un Docteur dangereux, principalement pour lui-même.

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Vu pour la première fois le 13 janvier en VOSTEN.
Pas encore noté car je souhaite le revoir. Il m'a laissé une sensation étrange que je ne saurais définir et le fait d'avoir eu des sous-titres anglais ne m'a pas aidée, certaines choses m'ont un peu échappées.

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Vu pour la première fois le 09 février en VOSTFR.
Je ne sais pas pourquoi j'ai mis autant de temps à regarder ce film malgré l'attrait qu'il avait sur moi. Enfin, c'est désormais chose faite et je ne regrette pas. La Vie rêvée de Walter Mitty, c'est un peu le Eternal Sunshine of the Spotless Mind de Ben Stiller. Je le découvre dans un rôle à mille lieux de ce que j'avais l'habitude de voir avec lui (c'est à dire dans le comique parfois franchement lourdingue), un rôle sensible, attachant, révélateur aussi.
Ce film m'a donné envie de voyager, un sentiment qui me taraude depuis longtemps mais auquel je n'ai jamais accordé l'attention qu'il mérite. Peut-être que je sauterai le pas maintenant.

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Film vu pour la première fois le 15 février en VOSTFR.
Il m'aura fallu tout mon courage pour me lancer dans le visionnage de ce film. Peut-être n'étais-je pas prête à rempiler après Django Unchained. En fin de compte, même si on devine un filtre édulcorant par-dessus (je le remercie tout de même d'avoir éviter de tomber dans la démonstration visuelle des horreurs de l'époque), c'est un film puissant qui expose avec suffisamment de vérité ce qui se passait à l'époque, tout en parvenant à rendre compte de toutes les nuances de gris (non, pas celles-là) dans les comportements de l'époque (l'esclave servile qui s'abandonne pour sauver sa peau, l'esclave qui fut homme libre et qui s'en souvient, ceux qui résistent coûte que coût mais aussi les abolitionnistes, les gentils esclavagistes, les méchants esclavagistes, les blancs sur lesquels on peut compter et les autres...).

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Film vu pour la première fois le 15 février en VOSTFR.
Ce film, c'est un peu une version filmée d'une partie de Plague Inc. mais vu par les humains. Mais si, au début, c'est silencieux et discret, personne ne s'en soucie trop. Après débarquent les cris, des sirènes, de la panique, la recherche, les tests...
En basculant entre autant de personnages, Soderbergh met en avant tous les comportements que l'on peut imaginer dans ce genre de situation catastrophe, de ceux qui sont prêts à se sacrifier pour trouver un remède, à ceux qui veulent sauver leur peau d'abord, en passant par ceux qui spéculent sur la vie humaine, parfois sous couvert d'être anti-système...

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Vu pour la deuxième fois le 19.02

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Vu pour la première fois le 19.02 en VOSTFR.
Ce film m'a laissé complètement décontenancée. Il m'a fallu deux essais pour le voir du début à la fin.
Tout d'abord, pour un film de 1988, les graphismes n'ont pratiquement pas vieilli. La scène d'ouverture est monstrueuse, j'ai accroché de suite. Ensuite, la bande-son, ou son absence, on ne sait pas trop. J'ai adoré l'ambiance que ça posait. Je ne l'ai pas remarqué tout de suite mais certains moments du films soutenus "musicalement" par les différents sons de l'arrière-plan qui sont répétés et rythmés, avant de disparaître aussi soudainement qu'ils sont arrivés. J'ai trouvé que ça donnait de la profondeur, un côté stressant qui correspondait bien aux scènes en question.

De l'autre côté... J'ai trouvé le contexte beaucoup trop vague. On sent qu'il y a énormément de sujets abordés dans le manga mais le long-métrage n'a pas su faire la part des choses et on est bombardé d'informations superficielles donc inutiles qui nuisent au scénario, qui en devient à la fois trop alambiqué et succinct. Résultat, on est baladé dès le début. Je n'ai pas du tout réussi à accrocher aux personnages, aucun d'entre eux, car ils sont, à l'image du contexte, complètement survolés.

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Vu pour la première fois le 25.02 en VO.
Si vous ne connaissez pas cette saga, il est temps de vous y mettre ! Tout y est à prendre au deuxième (ou peut-être plus) degré, et c'est un vrai délice.
Il est par contre difficile de les trouver sous-titré (à l'exception du Retour des tomates tueuses).

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Vu pour la première fois le 25.02 en VOSTFR

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Vu pour la première fois au cinéma en français le 27.02.
Kubo reste dans la lignée des précédents films du Studio Laika (à l'exception de Coraline qui sort du lot), un film que j'ai beaucoup aimé mais que j'aurais voulu aimé plus encore sans pouvoir y parvenir, la faute à plusieurs points mal, peu voir pas exploités. Cela reste pour autant un bon divertissement, et une énorme claque visuelle.

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Revu pour la énième fois le 01.03 en VF.
Adaptation romantique (pour ne pas dire mièvrerie mais j'assume) du roman éponyme, ce film est mon péché mignon.
Le revoir m'a tout de même fait remarquer qu'il est plutôt bien réalisé. Les effets spéciaux sont très biens faits, encore aujourd'hui, ce qui n'est par contre pas le cas des filtres d'ambiance qui auraient pu être fait sous photofiltre par un enfant.
J'aime beaucoup le traitement du personnage de Wendy qui fait preuve de beaucoup de courage tout au long du film et refuse qu'on lui impose des situations qui lui déplaisent. Et mon amour de gamine pour Peter Pan est encore là, à me pincer le cœur quand on parle de dé à coudre...

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Vu pour la première fois au cinéma le 28.02 en VF.
Il y a quelques idées intéressantes dans cet opus mais l'ensemble reste mauvais. Comme dans beaucoup de films récents, j'aime beaucoup le développement du personnage féminin, ici Laura mais, comme d'ordinaire, il ne suffit pas à redresser le film, il y a trop de travail, même pour cette petite survoltée. La première partie du film, en dehors des passages où Wolvy tue tout ce qui a deux jambes en leur passant le fil de ses griffes par la tête, est agréable et met en place un contexte qui semblait intéressant. Jusqu'à ce que le scénario parte en vrille, nous martelant la rétine de Wolverine, de faux Wolverine, de combats wolveriniens...
Le meilleur moment du film arrive avec le générique, et l'oubli momentanée de la salle que ce film n'est pas un Marvel mais un Fox, et qu'il n'y a donc pas de scène bonus.

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Vu pour la première fois le 06.03 en VOSTEN.
J'avais pas le moral, je touchais un peu le fond alors quoi de mieux qu'une comédie romantique qui parle de divorce ?

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Vu pour la première fois le 07.03 en VOSTFR.
Je ne savais pas trop à quoi m'attendre, les films de zombie ayant tendance à légèrement tous se ressembler pour moi depuis un moment mais c'était sans prendre en compte sa date de sortie.
J'ai beaucoup aimé le mélange des genres (zombie, survival) qui apporte de la fraicheur à ce film. Un des meilleurs points du film est également qu'il ne cherche pas à édulcorer ou donner dans le bon sentiment.

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Vu pour la première fois le 11.03 en VOSTFR.
Ah Suicide Squad... Tout un tas d'anti-héros, des vrais, des mauvais par dizaine ! Pardon, j'ai dis, des anti-héros ! DES VILAINS ! DES NÉMÉSIS !
Y aurait dû y avoir des tas de film d'origine plutôt que ça. Vous faites tout à l'envers la Warner et ça se voit. C'est tristement facile et plein de bons sentiments (NEMESIIIIIIIS !!), ça a cru que ça pouvait faire Les Gardiens de la Galaxie, avec de la musique qui swingue partout, tout le temps, en vrac.
Mais non. C'est juste... raté.

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Moins bien réalisé que le premier opus, il y a tout de même de bonnes choses dans celui-ci mais qui malheureusement ne contrebalancent pas ce qu'il y a de bien moins bon.
Comme toujours, je trouve que l'armée est plutôt bien décrite. En fait, elle est individualisée alors qu'elle est plus souvent traitée comme une entité en elle-même dans les autres films. L'autre point sympathique, c'était l'idée de développement d'un antidote et de la résistance de certaines personnes au virus.
Malheureusement, le film tourne très vite au n'importe quoi, avec des images en gros plan de sang, de gens tout mangés et "d'horreur"... Ce qui devient très vite lassant.
Quant à l'hypothèse d'une suite, merci, elle n'a pas vu le jour, et cette vue sur la tour Eiffel n'a eu que pour effet de me rappeler "Les tomates tueuses attaquent Paris" XD

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J'avais un très bon souvenir du premier opus de Detective Dee alors il me tardait de regarder celui-ci. En vérité, c'est plutôt un préquel, comme je l'ai appris après coup, car l'acteur qui jouait Dee dans le premier n'avait pu se libérer.
Il faut absolument que je dévore la filmo de Tsui Hark car j'adore sa manière de filmer, d'accorder de l'importance à des détails qui transforment une scène en l'annonçant de manière étrange par rapport à ce qu'on connait d'ordinaire.
Le travail graphique m'a de suite rappelé la série Sherlock (et les parallèles avec l’œuvre de Conan Doyle est facile à faire) et est fantastique à regarder.
Mais, ce dont je ne me souviens pas pour le premier, je l'ai trouvé très long, certains combats un peu inutiles, très attendus et clichés. De plus, le travail graphique est extrêmement léché, mais parfois, cela donne des scènes qui sonnent faux sans qu'on sache pourquoi.
Cependant, j'ai hâte de voir le prochain !