« 2017, j'ai la recette... »

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Pas tout à fait emballé même si l'album possède une certaine classe. On est loin du tourment noisy d'In Film Sound, même si c'est pas plus mal de changer un peu la donne. De beaux petits morceaux (surtout Accidental) malheureusement assez anecdotiques par rapport à la "grandeur passée".

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Pas bien folichon. C'est toujours aussi efficace mais les compos ne laissent aucune trace.

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6,66. Un bon album, mais j'en retire pas grand-chose, voire rien, hormis peut-être le morceau introductif, qui disrupte avec le dernier, quand on écoute l'album en boucle. En-dehors de ça, ça se fait moins pesant que par le passé, plus dilué, mais pas pour autant édulcoré ; c'est juste plus véloce. Comme si la recette Gojira (old) était passée par là pour délayer tout ça.

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Du Death qui va de mal en pis, tombant vite dans le grandiloquent de foire Warhammer. Rien de bien neuf, rien de bien fou.

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6,5 arrondi à 7. Du bon Hip Hop moderne et ouaté (embourgeoisé ?) avec samples de piano ambiance restau chic qui vont bien. Malheureusement raté à Rennes dans le cadre du festival Dooinit pour 5 boules. J'aurais bien tenté, quand même.

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J'ai bien du mal à me faire au Slowcore, genre comme appellation tout autant abstraits pour moi que le caractère social de la politique d'Emmanuel Macron. Un certain sens du vide partagé par les deux, d'ailleurs. En résumé, du Post-Rock qui prend bien son temps et se dépouille pour se rapprocher du Folk.

PS 2e écoute : j'ai plus vraiment le même avis, si bien que passerais bien de 4 à 6, mais je vais me cantonner à un 5, mes souvenirs étant vraiment trop vagues.

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Bonne surprise. Une reprise de Slayer un peu trop facile mais autrement c'est quasiment que du tout bon

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Rien de neuf sous le soleil du BM US, mais c'est bien fait, c'est déjà ça

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Feel-good album. C'est bien mignon mais ça casse pas trois pattes à un canard (ou à un hipster pitchforkien baptisé chez Needledrop).

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J'ai beau essayer, l'album a du caractère (cette batterie chaloupée sur la piste 2), c'est loin d'être déplaisant mais je n'en retiens rien, ou très peu. Dommage.

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Une seule écoute. Mitigé. Les synthés gavés de pathos ne me transportent pas, j'ai l'impression d'entendre une version mélancolique de Summoning, ou disons une version plus baudelairienne de Windir l'ourson. Le chant clair scandé en français est assez risible, ou en tout cas nécessite sûrement un certain temps d'adaptation pour passer outre l'effet "poète maudit de Terminale L".

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C'est plat, je passe mon tour ; bien que j'apprécie l'ouverture musicale, de l'Electro Funk à l'Electronica en passant par les harmonies vocales Folk.

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Ce ne sera pas l'année de la réconciliation avec UT. Dommage. Pourtant c'était l'album du mois du Terrorizer de février... Allez savoir.

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Bien mais ça s’essouffle assez vite. Malheureusement pas mal de morceaux anecdotiques.

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Efficace en diable, mais rien qui ne me "touche" particulièrement. La faute à des instrus ou à une prod trop passe-partout ?

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Voici venu le temps du Ulver FM. Pas mal de morceaux passables, bien qu'agréables, et un certain manque de profondeur, malgré une certaine spiritualité qui s'en dégage. Derrière le maquillage dancefloor se cache une version new gen du Ulver d'antan, écartelé entre l'envie de créer des morceaux fédérateurs marqués par le sceau des 80's et celle de conserver ses racines mystiques expérimentales. Presque trop facile pour du Ulver, au final ; comme un léger arrière-goût de bâclé.

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6,5 arrondi à 7. Ambitieux tout en restant simple [plus simpliste qu'avant ?] et rentre-dedans. SF [coucou Voivod], aventureux avec son chant clair sous effets [coucou At the Drive-In sur "Bleeding in the Blur"], dystopico-psychédélique ou psychédélico-dystopique quand il s'agit de ralentir [coucou Kylesa], sombre et limite Dark Ambient, tout en raclant toujours les fonds (de tiroir) comme sait le faire un feu Nails au plus haut de sa forme, le dernier Code Orange mélange l'envie de se la jouer Meshuggah dans les ambiances [la fin de "The Mud" notamment], tout en misant sur la concision et l'efficacité, dans un format quasi-radiophonique [on est chez Roadrunner après tout].

Une espèce d'album bâtard où les morceaux potentiellement tubesques [l'Indus pop "Hurt Goes On", assez NIN dans l'esprit], qu'on aimerait retenir, nous échappent, comme pour conserver l'urgence de la tradition Grind. En somme, un album à part, qui dénote un peu dans la disco, mais n'a pas pour autant à rougir.

Et puis même si à la première écoute ça paraît fadasse, frugal et bas du front ["Spy" en est sûrement l'exemple parfait], on se surprend à retrouver avec plaisir des passages sombrets et expérimentaux [ce break improbable dans "The Mud", cet écho à la froideur de Catch 33 du 'Shuggah dans "dream2"] qu'on avait un peu trop vite oublié.

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Du bon BM progressif à retenir parmi les meilleurs du genre, mais manquant certainement trop de folie/génie pour vraiment emporter la timbale.

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6,5. Du bon Grind (moins Powerviolence qu'avant peut-être ?) mais j'en retiens rien, même si ça groove plus. L'âge de la maturité ? (Mange Des Rhododendrons). J'en ferai pas un de mes albums de Grind préférés, donc.

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Je reconnais la qualité de ce Black/Doom/Sludge et plus si affinités, mais j'ai bien du mal à rentrer dedans. Sûrement à cause de cette approche un tantinet trop Prog qui manque de mordant, comme si tout devait être gardé sous contrôle, jusqu'au chant de damné très bon mais aussi très balisé, apprivoisé. Ça pourrait même être un 7,5, mais je trouve ça définitivement trop sage.

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Thrash 80's vraiment pas dégueulasse mais j'en retiens rien, tout se maintenant à un niveau de qualité constant, sans dépareiller, dans la tradition de ce revival Thrash/crossover des années 2000. 6,5 quoi

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Du bon Noise/Math-Rock survitaminé mais un poil trop répétitif et finalement pas très long. 6,5

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Finalement je n'accroche pas autant qu'au précédent. La faute peut-être à un style un peu trop répandu dorénavant. Ulsect (l'autre projet d'un type du groupe) lui rafle la mise.

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Bon BM de malandrin qui sent la ripaille. Champêtre et bigarré, pour vos sales esgourdes. C'est recommandable, mais je le ferais pas entrer au panthéon pour autant.

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Dommage, les mélodies sont trop simplistes, malgré l'expérimentation à tous les virages, et le chant féminin possède certains accents agaçants.

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6,5. C'est bien fait mais je n'ai aucun feeling, sûrement à cause du tempo relativement soutenu

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6,5 arrondi à 6. Un certain manque d'idées, et un peu toujours la même corde sensible du "allez viens j't'emmène au vent, je t'emmène au-dessus des champs". Balade sympathique nonobstant, avec un opener bien savoureux, au son de guitare surprenant, flirtant avec le son Goth.

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Eh beh... Sélection Metalorgie... Au moins ça servira peut-être de BO au prochain Gears of War. Pas écouté en entier, mais ça mélange le pire du Metalcore US avec le Neo Metal de Campus Limp Bizkit'o'Korné. Y'a de bons passages plus sombres atmo qui font penser à feu Meshuggah mais ça s'arrête là. L'alternance chant FM/hurlé casse vraiment tout.

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Metalorgie encore :/ Du Death sympho à claviers mi-baroques mi-dégoulinants. D'un instant à l'autre on s'attend à voir débarquer le chant de castrat allah Dream Theater, en vain ; mais c'est tout comme.

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Du BM allah Krallice, en moins branlito. Du BM US moderne, technique, donc moins émotionnel que la moyenne mais quand même fort recommandable.