2019

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Revu, toujours le plus beau film du monde

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Revu
Encore plus évident, limpide, que la première fois. Un vrai grand film de maître.

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Revu
Somptueux

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Au Cinéma, Projection de presse.

Critique à venir (http://faispasgenre.com/2019/01/glass-critique/)
Mais je suis content.

Revu deux fois de plus, je pourrais écrire des pages et des pages dessus. Amoureux du film au moins autant que Shy de ses personnages.

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Au Cinéma.

Etrange film duquel je sors parfois, mais pour mieux réfléchir dessus ce que je crois Zemeckis m'invite à faire.
Bizarrerie souveraine et générosité sont les maîtres mots de sa dernière période, et même s'il se montre moins fin que Spielberg il m'emballe avec une vrai force et une vraie joie.

Revu 1 an après. Plus ému que la première fois je crois. Pas mon préféré des derniers ceci dit.

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8 généreux pour un film plus inégal que les deux précédents, mais que j'aime aussi pour ça. C'est trop long, mais c'est aussi comme ça que je vois vivre tout ce petit monde. Je trouve les seconds couteaux moins géniaux que ceux d'En cloque. Mais c'est pas grave. Dernière scène géniale, tout comme tout ce qui est vraiment vulgaire dans le film.

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Au Cinéma.

Génial. L'ensemble est génial. Tellement bizarre, hirsute, et en même temps parfaitement cohérent. Virtuose aussi.
Ma scène préférée à la sortie du spectacle, où Spike donne des branches d'arbres en guise de fleurs à sa femme persuadée qu'elle va être quittée. J'étais par terre.

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Revu +1
Je l'avais en partie oublié, mais connaître le twist apporte beaucoup d'émotion et de tristesse. Un vrai grand film, sans être mon préféré, c'est dire le génie de Shy.

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Difficile de mettre plus de 6 à un film vu en qualité vhs (en pire) sur youtube sans sous titres.
Difficile aussi de mettre plus à un premier film si premier, dans sa sincérité totale et son didactisme. C'est aussi pour ça qu'il est très charmant, et je pense qu'il me restera. Shy y est très mignon, et quelque part tout est déjà là: la quête d'une place pour le singulier dans le monde, les traumatismes et bien-sûr les fantômes.

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Sans la voix off un peu explicative, et la mise en scène répondant à des tics un peu datés (la musique notamment) qui font sentir quand même la commande disney pour mioches, c'est presque un 8.
M. Night Shyamalan est vraiment le "king of the weirdos". Film beaucoup trop pur et sincère pour l'époque dans laquelle nous vivons, et j'en suis triste. Déjà des personnages magnifiques et une candeur qui me bouleverse. Que c'est étrange que le film porte à ce point tout ce qui fera son cinéma par la suite et qu'il soit une commande...
Quelle filmo quand même...

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Au Cinéma.

Loin de moi l'envie de descendre un film aux ambitions plutôt louables. Mais "L'Heure de la sortie" m'a paru vraiment très faible, totalement sur-écrit, alignant avec application et constance tous les poncifs du tout-venant contemporain sans que rien ne soit vraiment incarné. C'est même parfois aberrant, notamment sur l'identité qu'il donne à ces jeunes...

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Au Cinéma.

Probablement un 6 sévère, pour un film qui fait tout de même un effet fort. Beaucoup de choses me resteront, et impossible de prétendre ne pas avoir éprouvé une émotion forte au dernier plan d'un film aussi vital pour son auteur, au point qu'il en soit mort.
J'aime la mélancolie du film, son intense et douce tristesse. Moins ses accès de violences, que je trouve un peu plus apprêtés et qui font à mon avis trop ressortir la dimension formaliste. Dans ces moments prends et dans d'autres, elle prend trop le pas à mon goût. Les plans longs et spleenesques sont beaucoup plus vivants, et permettent de dépasser certains effets qui font un peu afféteries de premier film.
Ensuite dans l'écriture, la dimension chorale du récit, les passages entre les personnages ne me semblent pas toujours parfaits.
ça reste évidemment à voir, mais probablement pas totalement pour moi. Belle musique sinon.

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Au Cinéma, revu +1 +<3

Voilà un film choral écrit à la perfection justement.
Tant de malice, d'intelligence, de drôlerie, de modernité, d'actualité, de profondeur, d'inventivité.
Un chef-d'oeuvre absolu. Encore un pour Resnais. Je ne les compte plus. Il en faudra bien un dans mon top 10 un jour. Attendons de les voir tous...
J'étais par terre à la fin de cette projection, dans la plus ancienne salle de cinéma du monde, l'Eden Théâtre à La Ciotat.

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Revu +1

Le +1 politique pour un film qui défend tout ce qu'il y a de plus essentiel pour moi. Mon amour pour Shy devient inquiétant.

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Amoureux de chaque personnage, et amoureux des larmes chaudes que provoquent les films de James L. Brooks. Les moments les plus déchirants sont les plus heureux, comme cette arrivée de Nicholson à la fin. Parce que, nous non plus, on ne s'attendait pas à que ce soit quelqu'un de bien ...
Encore un chef-d'oeuvre.

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Sans surprise, probablement le film le plus horripilant que j'ai vu en salles depuis le Civeyrac. La même bêtise théorique, le même didactisme plat, la même vision du monde se voulant moderne mais en fait totalement dépassée, de A à Z. Le pire, et qui rend ça encore plus antipathique, c'est que les acteurs sont bons (sauf Macaigne, comme d'habitude), comme dans une pièce de théâtre privée friquée et chiante.
Je ne mets pas 1, pour la blague finale sur Juliette Binoche, tellement affligeante que j'étais hilare. Comme à beaucoup de moments. Hilare contre ce gros film de merde. Assachiasse n'est plus sauvable.

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Paresse, mon avis est là en gros:
https://www.senscritique.com/activity/3493/19494163

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Revu après ma deuxième vision de Glass.

Je relis ma première annotation dans 2017, ça m'a rappelé à quel point la première séance de ce film était folle.
Ça survit très bien, et la cohérence avec Incassable et Glass est vraiment d'une grande beauté. Pour l'anecdote, je passais juste derrière mon petit frère qui regardait, et je suis resté jusqu'au bout tellement c'était le feu.

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Petit film au pouvoir immersif indéniable, mais auquel la cinéaste ne fait pas toujours confiance, notamment dans des passages visites guidées qui m'ennuient pas mal.
J'aime par contre beaucoup la liberté de penser ce que je veux des traumas, pensées et agissements du personnage, que me laisse tout du long Mia Hansen-Love. Je la trouve rare et précieuse.
Mais l'histoire d'amour est trop désincarnée pour vraiment me bouleverser, et je trouve le film monté étrangement.
La moyenne d'un bon film sur deux pour Mia se confirme donc.

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Très amusant. Je vais revoir le premier parce qu'en y repensant c'était aussi une très mauvaise séance aux halles entouré de connards. Mais il me semble que celui-ci assume plus sa dimension paranoïaque, et son exploration d'un net obscur assez angoissant. Le dispositif est moins malin - mais avec des idées amusantes, comme les champs contre champs entre écran - donc peut-être moins passionnant, et il y a encore des personnages relous. Mais je trouve le film vraiment amusant dans sa brutalité et sa paranoïa un brin complotiste.

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Série B légère et ludique autant que bouleversant mélodrame. Comme toujours, l'équilibre et la fluidité de l'ensemble donnent le vertige. Les changements de ton, la légèreté, la simplicité et la profondeur du film ne trouvent d'équivalent nulle part ailleurs.
Pas grand chose à dire de plus. Eastwood meilleur acteur du monde.

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<3

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Petit film (très) imparfait, mais qui prend ses personnages et son artificialité très au sérieux, sans perdre en légèreté très touchante. Quelques dialogues assez merveilleux, et alors que je pensais ne pas accrocher au début (cette histoire de grecs est difficilement emballante au démarrage) je me suis vraiment amusé. Ropert a une vrai bienveillance envers ses personnages, ce qu'on voit très bien dans le traitement du très beau personnage de Swan Arlaud par exemple, donc je ne peux recevoir ses films qu'avec la même bienveillance. Même si c'est peut-être le moins abouti des trois.

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Revu, note inchangée.
Folie.

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Très marrante Bisserie sans aucun respect, qui mêle avec amour Claude Zidi et Lucio Fulci. Fait avec 13 000 euros, un son déplorable mais des scènes de meurtre vraiment inventives.
Tellement honnête et drôle que je suis vite conquis.

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J'avais peur de me trouver devant une branchoïllerie sans âme, et en fait je vais forcément le revoir tellement c'est riche.
Je ne suis pas sûr que ce soit totalement mon cinéma, mais je vois un vrai ludisme dans ce récit labyrinthique (ludisme qu'on retrouve dans cette idée si amusante du moment où on enfile les lunettes).
Evidemment, le plan séquence regorge de choses totalement folles visuellement, mais je trouve également l'atmosphère sonore absolument sublime.
Je ne sais pas totalement de quoi ça parle - probablement de rêve, de souvenir, et de cinéma, que demande le peuple ? - mais pour un tel bain sensoriel, je ne peux dire que merci.

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Revu, note inchangée.
En voilà qui restera probablement dans mon top 5 toute l'année. Merveilleux.

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Je préfère le nouveau, mais j'ai encore rêvé de celui-là donc 8.
Des reflets, des trains et un chef-op qui utilise des raccourcis. C'est beau.

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Revu, folie, malgré une VF hasardeuse.

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Critiqué.